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Le cortège des attaques contre les institutions avec la récurrente folie de la médiocrité
mardi 9 octobre 2018, par
L’Algérie livrée à une mascarade de destruction des institutions, même les plus solides, se dégradent de jour en jour. Comme ce cas qui traduit la grande descente aux enfers des appareils les plus solvables. L’ex-DRS devenue "Direction des Affaires de Sécurité" et rattachée directement à la présidence qui détient aussi le ministère de la défense, est fonctionnel dans un pays en panne, sclérosé par une cynique maladie devenue collective et incurable...
Par le passé les journalistes arabophones défendant les constantes nationales (langue arabe et islam) en Algérie étaient, et pas tous, des indicateurs de la terrible police militaire. Ils étaient à l’intérieur du parti unique prêts à chasser les progressistes et à mater les filles forcées de porter le "Hidjab".
– Doute & affolement sur la loyauté des militaires pour le 5è mandat à Bouteflika
28 septembre 2018
Avec l’islamisme post-1988, certains ont même collaboré avec les terroristes contre le DRS et l’armée. À l’arrivée de Bouteflika, ils livrent, contre l’opposition et les institutions qui ne se soumettent pas à leurs desseins, une vindicte d’ailleurs colportée, après eux, par un large mouvement obscurantiste...
<doc1383|left> Le journaliste appelait de tous ses vœux, à l’intervention des services spéciaux dans les affaires politiques, et au plus haut sommet de l’état ! La chute de son papier est même édifiante à ce sujet. La controverse mérite qu’on y revienne, la chaîne de TV Ennahar se croit tout les est permis.
On dirait que le journaliste est nostalgique des temps d’une police politique omniprésente. Il demandait que le DRS intervienne dans l’hémicycle de l’assemblée nationale, uniquement pour préserver la discipline des députés. Mais le diable est les détails.
En fin de compte, l’article valu l’arrestation, ce matin, du journaliste S Djerbal d’Ennahar. La médiocrité n’a pas de limites. Mais la main du clan des Bouteflika est aussi présente. Car l0a culture de l’état est occulte, ce qui est navrant de voir des gens, de la pire ruralité, se permettent de penser de la sorte.
Dans tous les pays du monde il y a la constitution qui définit les institutions et les prérogatives de chaque acteur de la vie publique, de même qu’elle fixe les relations entre elles. Mais en Algérie, la gabegie fait de la constitution juste un livre de façade, sans effet sur les institutions.
L’interpellation ce matin de l’animateur d’un site internet ALG 24 propriété d4a=Annahart-TV alias Anis Rahmani qui s’attaque depuis hier à Athmane Tartag, chef du renseignement Algerien. Simplement voilà quoi s’autorise la paysannerie des médias, que les Algériens désignent par bédouins.
Voir en ligne : Notre dossier ALGÉRIE
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