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Les jeunes en colère, pour la crise climatique, seulement en Occident.

Institutions & juges forcés d’écouter les générations héritières de la Terre.

samedi 24 juin 2023, par Hugo Mastréo

L’étape de l’examen des effets du changement climatique sur notre planète, est assez dépassée en dépit que certains citoyens et politiciens continuent de douter sur la spirale qui n’arrive pas à bloquer la montée des thermomètres. Des solutions sont proposées pour lutter contre ces dégâts provoqués par un réchauffement qu’aucune perspective de confiance ne semble l’arrêter. Les jeunes espèrent changer les choses à l’encontre des sources du désastre qui avance, car commencé depuis des décennies avec la désagrégation de nombreux paradisiaques et naturels microcosmes terrestres...

On se demande comment la passion ou la prise de conscience des jeunes au changement climatique est fervente ? Pourtant, il est bien compréhensible que c’est de leur destin commun qu’il s’agit. Ainsi, de l’avenir écologique de la planète qu’ils héritent pour y vivre, voire la perspective du doute pour que la Terre soit accueillante et vivable à l’avenir, qui les préoccupe…

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Avec l’accès aux nouvelles technologies porteuses de solutions innovantes pour lutter contre ce péril mondial, ils explorent des domaines tels que les énergies renouvelables, la mobilité durable, l’agriculture régénératrice et les pratiques de consommation responsables. Et ils sont souvent en première ligne pour l’adoption ces nouvelles approches, y compris d’être « végans ». Et à encourager l’adoption de ces choix de modes de vie à plus grande échelle.

Les décisions prises aujourd’hui auront un impact sur la qualité de vie future. Donc les générations d’adultes à venir se rebellent maintenant, contre les orientations politiques qui les méprisent et se détournent des alertes lancées par les scientifiques. Alors est-ce que les institutions écoutent ces appels ? Même si les manifestations ne sont pas mondialement coordonnées, les jeunes s’organisent.

Les nouvelles générations et le changement climatique sont une affaire qui plaide pour une posture de prise de conscience collective. Longtemps à l’avant-garde des mouvements sociaux, les jeunes préoccupés de leur propre destin articulent leurs nouveaux engagements pour le sauvetage des différents êtres dans une planète qui ne soit pas léguée dans un état de détérioration.

Dans plusieurs pays, les actions des catégories juvéniles sont devenues extrémistes car le refus de les entendre est omniprésent. C’est le cas des savants et des journalistes dont on refuse leurs thèses et leurs alertes concernant la dégradation de l’environnement, pour les premiers. Et au sujet de la corruption devenue assez répandue au sein de certains rouages sans transparence.

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Alors que leur rôle est essentiel dans la sensibilisation, notamment aux USA la mobilisation est ancienne et ne cesse de monter en puissance. On minimise leurs paroles par le fait de leur âge et de la faiblesse de leur pouvoir politique. Mais leur travail du militantisme dans la recherche de solutions, pour faire face au changement climatique, comme urgence, ne cesse de s’élargir et de prendre de l’ampleur. Leur degré d’organisation s’améliore aussi rapidement.

Aux États-Unis, le gouvernement de Biden fait face à une action climatique fédérale similaire à celle qu’un autre groupe de jeunes plaignants a déposé contre le gouvernement américain en 2015. Après des contestations judiciaires des administrations Obama et Trump, un juge fédéral a récemment autorisé cette action à aller de l’avant. Donc depuis des années que ce mouvement de jeunes existe. Dernièrement, un comté américain réclame 51 milliards de dollars à des groupes pétroliers

L’avancée majeure au pays de l’oncle Sam est que la principale organisation « EPA », l’Environmental Protection Agency, nomme un groupe de jeunes, de la plage citoyens américains, âgés de 16 à 29 ans, pour la conseiller sur le changement climatique et d’autres crises. Ses actions en justice se développent, un procès historique s’ouvre aux États-Unis, celui de 16 jeunes plaignants ont assigné l’Etat du Montana en justice.

Selon une nouvelle étude, en l’absence de nouvelles politiques plus ambitieuses, le monde se dirige vers une ampleur du changement climatique, une catastrophe exposerait environ 2 milliards de personnes à un risque de chaleur extrême d’ici à la fin du siècle. Les émissions de gaz à effet de serre provenant des combustibles fossiles persistent à perturber l’équilibre naturel du monde.

74% des gens ne croient pas à une solution au réchauffement climatique.

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Voir en ligne : Réchauffement climatique, environnement, écologie

   
   

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