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Un CoronaVirus a frappé en Asie de l’est il y a 20 000 ans.

Seule la vaccination interagit efficacement avec les gènes afférents à l’immunité.

mercredi 30 juin 2021, par Jaco

Au cours des 50 000 dernières années, une forte sélection sur les protéines interagissant avec les virus "VIP" s’est poursuivie dans les populations humaines. Elle se situe principalement dans les variants de gènes codant pour des protéines. Les preuves accumulées suggèrent que d’anciennes épidémies de virus à ARN se sont produites fréquemment au cours de l’évolution humaine, engendrant des réactions différentes comme devant la COVID-19.

L’intérêt de la vaccination anti-COVID-19 gagne de plus en plus de probité face à la recrudescence des manœuvres de la « théorie du complot » et autres fumantes propagandes de l’ignorance. Une découverte, indiquant qu’une même expérience a été vécue par l’humanité il y a 20 000 ans. Si les scientifiques ne cessent d’alerter sur la pandémie, des populations continuent encore de douter.

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D’emblée cet article fera la démonstration que le virus est d’une terrifiante virulence. Et surtout il ne provient pas de laboratoire, comme il a été préconisé par certaines malfaisantes informations. Tant que le SRAS-CoV-2 a été repéré par le passé, laissant même des traces de son existence dans l’ADN humain, il n’est plus désormais question de soupçonner une erreur humaine pour sa reprise en 2019.

Des chercheurs ont trouvé des preuves qu’une épidémie de coronavirus a frappé l’Asie de l’Est, c’est-à-dire dans le même terrain géographique où il a repris du service, il y a environ 20 millénaires. Cette découverte est plus qu’intéressante, car elle montre que la maladie virale pourrait avoir inéluctablement des implications désastreuses, si elle n’est pas bientôt maîtrisée par la vaccination.

Plus le temps passe, plus ces mutations s’accumulent. Les scientifiques ont découvert que les 42 gènes avaient tous à peu près le même nombre de mutations. Cela signifiait qu’ils avaient tous évolué rapidement à peu près au même moment. C’est un signal auquel absolument il n’y a pas de hasard au constat. Tous ces gènes ont développé leurs mutations antivirales il y a entre 20 000 et 25 000 ans, très probablement au cours de quelques siècles.

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Des travaux existaient pour rechercher dans le génome humain ces modèles de variation génétique, afin de reconstituer l’histoire d’un ensemble de virus. Lorsque la pandémie a frappé, il s’est demandé si les anciens coronavirus avaient laissé une marque distinctive.

Les épidémies virales anciennes peuvent être identifiées grâce à l’adaptation dans les génomes de l’hôte.

Notamment, les génomes humains modernes contiennent des informations évolutives remontant à des dizaines de milliers d’années. Ce qui peut aider à identifier les virus qui ont eu un impact sur nos ancêtres, indiquant quels virus ont un potentiel pandémique futur.

La comparaison de l’ADN de milliers de personnes dans 26 populations différentes à travers le monde et en examinant une combinaison de gènes connus pour être cruciaux pour les coronavirus, mais pas pour d’autres types d’agents pathogènes, que l’observation a été développée par l’équipe des chercheurs.

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Elle a été suffisamment dévastatrice, pour laisser une empreinte évolutive sur l’ADN des personnes vivantes aujourd’hui. Cet ancien coronavirus a tourmenté la région pendant de nombreuses années, selon les chercheurs dont la publication est alarmante. Malgré la vaste gamme d’outils épidémiologiques et biomédicaux désormais disponibles, les effets sont vraiment dangereux.

David Enard, un biologiste de l’évolution à l’Université de l’Arizona qui a dirigé l’étude, publiée jeudi 24 juin 2021, dans la revue Current Biology est catégorique au regard de la mémoire recueillie de la présence du virus « Ce qui se passe en ce moment pourrait se poursuivre pendant des générations et des générations. »

Au fil des générations, les virus entraînent d’énormes changements dans le génome humain. Le processus d’existence et d’évolution est suivi est reconnu. Une mutation qui protège contre une infection virale peut bien faire la différence entre la vie et la mort et elle sera transmise à la progéniture. Une mutation vitale, par exemple, pourrait permettre aux gens de découper les protéines d’un virus.

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Voir en ligne : COVID-19

   
   

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