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Des médias français aux lignes éditoriales plaidant les violences du passé.
mardi 1er septembre 2020, par
La fiction par laquelle le magazine "Valeurs Actuelles" exprime sa haine dégradante de l’élue du peuple, Mme Danièle Obono, illustre les pratiques de disparité entre les groupes de la population en France et que mettent en exergue certains racistes. La concernée est présentée à la vente sur un marché d’esclaves, dans le pays où elle tient ses origines. Ne trouvant pas acquéreur, elle est achetée par un religieux français et emmenée dans un monastère en métropole coloniale. Puis libérée pour faire avaler la « normalisation du racisme ».
Ecouter l’article.
L’aspect débat des idées, confrontation idéologique et communication politique fixe ce qui est la ligne éditoriale de chaque média. Les segments humains de la société, où est ressentie la domination d’une catégorie sur une autre, rappelle la lutte des classes. Et où le paramètre économique ou matériel n’est plus désormais de la pratique pédagogique, alors les échanges ne se pardonnent rien.
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vendredi 5 juin 2020
Fortement aussi la dimension mémorielle est capitale, dans ces forums que le journalisme de société alimente. En effet l’histoire est un creuset argumentaire capital. Alors l’extermination des amérindiens, l’esclavage et la colonisation sont des thèmes qui remontent à la surface avec les générations qui prennent parole à partir des exclusions qui perdurent. Chaque camp émet sa vision du présent construit par sa propre sensibilité.
Après cette controverse de racisme à l’égard d’une député noire, les français découvrent encore une fois, avec consternation, que leur président est parmi les personnalités qui ont assuré une promotion au magazine « Valeurs Actuelles ». En lui accordant une interview et l’avoir appréciée. Ce journal représente, dans l’un de ses articles, la députée Danièle Obono en esclave. Et fait l’objet d’une enquête pour « injures à caractère raciste ».
En dépit de sa sulfureuse renommée de média reconnu accablant les immigrés, les féministes, les citoyens musulmans et de s’adonner à l’antisémitisme, dans ce qui sont les protocoles institutionnels qui font le racisme systémique et structurel. La concernée a déclaré que la publication de telle illustration était un « signal qu’une ligne avait été franchie », que les Français doivent mesurer en Nième passage à l’acte.
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25 mai 2020
Le contexte délétère, à la suite de la mort de George Floyd, un homme noir tué par des policiers dans le Minnesota, cette année, a provoqué des manifestations en France contre un racisme qui pourtant fréquent n’est vraiment jugulé. Le pays dont l’attachement à l’universalisme et de citoyenneté lui est préconisé a eu du mal à faire face à son héritage colonial. Des critiques l’ont souvent été accusée de ne pas réussir à intégrer les immigrants de ses anciennes colonies.
Naviguer sur les nuances et toutes les latitudes qu’offre les théories du complot, « Valeurs Actuelles » utilise la manie quasi réincarnée des méthodes usitées. Il crée un article en responsabilisant les personnes à partir de question qui vérifie leur opinion. Demander à un imam un avis sur une caricature du prophète Mohamed relève d’une basse manipulation où il est demandé de choisir entre des antagonismes intenables.
Le cas de la député Danièle Obono citée pour « Nike la France », quand il lui a été demandé de se positionner pour une chanson rap produite par un jeune français issu de descendance africaine, est l’exemple d’exiger l’avis d’Eric Zemmour, qui est l’exemple à bien citer dans ce cas, sur l’islam ou bien les émigrants. Donc elle s’y refuse de se prêter au jeu abjecte, de l’invective. Afin de la désigner en charge, par l’insulte qui reprend des paroles qui ne sont pas les siennes.
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Voir en ligne : Notre dossier RACISME
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