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Présumé de l’entourage de Benladen, Sami Aïdoudi libéré après son retour en Tunisie

Que sera celui qui lavait le linge du Chef d’Al-Qaïda ironise un expert, en cette circonstance !

samedi 28 juillet 2018, par Azouz Benhocine

Sans preuves, comme il n’a jamais été haut placé, Sami Aïdoudi, àgé de 42 ans, a été libéré, vendredi 27 juillet, par la justice de son pays, la Tunisie où il a été envoyé par les autorités allemandes qui, sur demande de l’Office fédéral des migrations, ont préféré se débarrasser d’un misérable fanatique. Il a comparu devant un magistrat, sans accusation précise et étayée de faits.

Après 15 jours de son arrivée, la durée légale de garde à vue, il a été relaxé. Même si l’enquête n’est pas terminée, il sera surveillé pour ses agissements. Des questions sur son expulsion demeurent. Il y a un, le tribunal qui traitait son affaire en Allemagne avait bloqué son départ, malgré que l’expulsion a été prononcée. On craignait "la torture" s’il aurai été renvoyé. Mais sans grande insistance, les Allemands le préfèrent éloigné.

19 mars 2015

La justice allemande réclame son retour. Le tribunal administratif de Gelsenkirchen a qualifié sa déportation de « grossièrement illégale » et exige encore qu’il soit restitué en Allemagne. Des poursuites sont faites contre l’autorité de l’immigration de Bochum qui risque une amende de 10 000 euros (11 700 dollars) s’il ne rendait pas Sami A. avant la fin du mois de juillet.

Il séjournait en Allemagne depuis une décennie, sous une surveillance étroite. Malgré qu’il n’a été jamais été prouvé qu’il était membre d’Al-Qaïda ou de tout autre groupe terroriste, les responsables antiterroristes allemands le considéraient comme une menace. Il percevait près de près de 1 200 euros par mois dans le cadre social...

Pour nombreux connaisseurs du mouvement terroriste généré de la théologie du crime et qui comme « pseudo-idéologie » tente de s’imposer dans le paysage politique en abusant de la démocratie, les maghrébins dans aussi bien Al-Qaïda que Daesh sont confinés dans les basses besognes.

30 janvier 2016

Quand on présente un tel tunisien, comme Sami Aïdoudi rapatrié d’Allemagne, comme garde-de-corps de Benladen, alors qu’il n’apparaît jamais sur les photos montrant l’entourage du chef de l’organisation criminelle, c’est qu’il y a une forte prétention. Un autre algérien, Djamel Béghal, lui aussi remis aux autorités du pays d’où il est originaire, était dit comme ex-chauffeur du défunt chef d’Al-Qaïda. Alors qu’il n’a même foulé le pas du leader tué par les Américains au Pakistan.

Les bribes des grandes familles de l’islamo-terrorisme sont de plus en plus dispersées, leurs composantes humaines dispatchées et les anciens combattants de l’obscurantisme tombent l’un après l’autre. La repentance, le retour au bercail, l’extradition et l’emprisonnement éliminent la férocité de ses individus dont la piété s’apparente à la cruauté !

Les ressortissants d’Afrique du nord ne sont que la chair à canon. Ils servent souvent au Moyen et Extrême-Orient en kamikazes qui s’explosent devant les véhicules ou dans des lieux des attentats. D’ailleurs dans l’ensemble de la philosophie, y compris la plus officielle comme au sein de la Ligue arabe ou bien les grands forums islamiques, les Maghrébins sont écartés des responsabilités même s’ils ont des compétences reconnues.

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Voir en ligne : Notre dossier TUNISIE

     
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