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Syrie : punition tripartite après l’islamo-terrorisme

Les progressistes obligés de soutenir un tyran amateur de gaz baàthiste !

mercredi 28 août 2013, par N.E. Tatem

Originellement, Bashar Al-Assad au lieu d’accepter la transition du pouvoir politique qu’il a hérité de son père, gràce à l’autoritarisme du Baàth, vers l’alternance, il a opté pour la répression de désarmés protestataires. Simplement il aurait dû écouter la manifestation paisible, enclenchée aussi dans son pays et relevant de sa contextualité naturelle du « Printemps Arabe » €¦

D’emblée, notons à l’avance : que l’opposition syrienne est celle qui a boycotté un certain BHL, Bernar-Henry Levy, qui a tenté de lancer, comme pour la Libye, un forum « parisianiste », afin de la soutenir. Puis les islamo-terroristes ont inondé la Syrie, comme une punition Qataro-atlantiste...

Prenez connaissance de l’interview via Skype du Terroriste qui a dévoré le cœur d’un soldat syrien, in LE TIMES - en anglais - .

L’expérience de la vaste révolution des peuples insoupçonnés, et réveillés pour revendiquer la citoyenneté et l’égalité de l’exploitation des ressources économiques des collectivités nationales, nous montre que les longs règnes présidant des républiques ont été contestés. Et les despotes qui ont plus longtemps gouverné, se sont exposés à des insurrections plus farouches dans ce qui est « Printemps Arabe ».

Mais, Bashar a cru disputer, l’aspiration du changement politique, avec un bras de fer, tel que réagirait toute tyrannie autoritaire. Une indécence qui a poussé à la lutte armée des jeunes syriens pour le destituer. Le dirigeant en place à Damas, qui est le précurseur d’héritage dynastique du pouvoir en république, a préféré la méthode naturelle qui lui revient. Et quand un despote décide, c’est un fanatique en force qui refuse d’abdiquer à son peuple.

Maintenant, à la vieille d’une agression de forces extérieures se disant protectrices des populations civiles de l’usage d’armes chimiques, le régime de Syrie met nombreux de ses opposants traditionnels de son côté. Parce que cette intervention est un bien plus pire que celle qui a fait de l’#Irak ce qu’il est maintenant, un pays plongé dans le bain de sang des sectes « sunnites et chiites ».

Bashar Al-Assad pousse l’ensemble des peuples arabes, ceux sérieusement préoccupés de leur destin, devant un fait-accompli ! Communistes, chrétiens et Kurdes syriens, qui ont découvert la ruée des « djihadistes » dans leur pays sont bien placés sur le front avec les opposants, choisissent désormais le régime en place que des criminels internationaux.

Toutes les consciences, celles dites arabes en premier lieu qui sont déchirées par leurs dirigeants tous aussi bêtes et méchants, regardent plus la #Syrie que son Ba th ou son dictateur. Elles désirent toujours le départ de cette dictature aussi assassine que le terrorisme. Mais par nécessité, elles se retrouvent dans le camp toujours malfaisant.

Avec émotion qu’indifférence, les opinions arabes les plus éclairées qui n’ont jamais eu habilité à gouverner leurs peuples, vivent encore les échecs défaitistes de leurs dirigeants… Une réaction qui sera suivie par nombreux autres démocrates, refusant la monstruosité des dominateurs du reste de Monde.

Et cette fois aussi, elles ont obligation de soutenir, face aux ingérences impérialistes qui ont habitude de fonder leurs interventions sur des mensonges, ceux qu’ils n’ont pas en odeur de sainteté. Ces opinions « dites arabes » calées et engluées dans d’indescriptibles arriérations, sont déçues de leur état se résumant en leur « absence à influencer le Monde ».

Elles vivent toutes les douleurs du peuple syrien : celles des victimes innocentes, celles des mes martyres pour les libertés démocratiques, celles des réfugiés que l’exil du foyer met en pleurs, celles des marmailles aux larmes bouillantes de souffrances et celles des horribles gaz vaporisé par des obus éjectés par les canons de la mort...

Cette prochaine guerre promise par, comme d’habitude, les #USA, la #France et l’#Angleterre, est celle "d’une correction"...

Disent-ils en punition de l’usage de l’arme fumante ! Au total, entre 3500 et 3600 syriens et tous des civils sont recensés comme victimes de l’attaque à l’arme chimique...

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Voir en ligne : Notre dossier : guerre civile en SYRIE

     
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