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Les déboires de la communication citoyenne qui rappelle les infos dites secondaires
lundi 28 octobre 2019, par
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La crédibilité des labels de la presse qui ont eu des décennies pour être reconnus par le public. Ils ont été achetés par des grosses fortunes ou des groupent d’investissement qui ont des actionnaires avides de dividendes. Se rappeler que G. W. Bush et son gouvernement avaient menti pour agresser l’Irak et que des journalistes et des médias ont relayé le "bluff", nous interpelle sur des pratiques qui se sont répandues...
Alors la conscience des journalistes a obéi à ses propres termes de probité. Mais pour constater des faits, les couvrir et les rapporter au public a, non seulement des règles d’impartialité ou d’opinion sur toutes actualités, des exigences matérielles pour accomplir cette mission de produire l’information. Les sphères idéologiques campent leurs fascinations, alors les forces financières continuent de s’accaparer les espaces d’expression revenant aux peuples ou à leurs représentants.
La quête d’un modèle économique pour la presse en ligne date de quelques années. Supplier les lecteurs d’aider au financement d’organes qui informent, sans regarder leur statut social, n’est pas aisé pour les entrepreneurs démunis de soutiens financiers philanthropiques. Dès 2020, l’accès aux informations via Internet changera inéluctablement.
– L’état de Julian Assange, devant les juges anglais, reflète le violent capitalisme.
23 octobre 2019
Les revenus de la presse en ligne n’existent que parce que des pubs s’affichent sur les pages des sujets publiés. Mais delà à ce qu’elles génèrent assurément des ressources, ce n’est encore le cas. Ils sont tellement modiques qu’ils ne couvrent pas les frais de mettre en ligne un site. Pour de grands titres, comme le Huffingpost, il n’est pas question de rémunérer ses blogueurs.
D’emblée, il faut au moins que les annonces, dont les plus facilement accessibles sont celles de google, soient "cliquées" par le lecteur. Voire même qu’elles provoquent un acte commercial pour le site-Web de destination. Afin qu’elles génèrent un centime (de $ ou €) par consultation, l’internaute, lisant un sujet, doit être détourner de son premier objectif.
C’était la vision d’autonomie du journaliste qui a encouragé la tendance d’informer via le web. Ne plus dépendre des rédacteurs en chef, de l’entreprise qui négocie défavorablement les salaires et d’un titre acquis par des investisseurs qui veulent contrôler la ligne éditoriale, était un rêve. Peut-il encore être motivant pour exercer du Web-journalisme ?
Depuis déjà 2 décennies que l’abondance distribuait gratuitement des articles via Internet. Les lecteurs se sont habitués à la gratuité. Mais ce n’est pas définitif. Ce qui a habitué à cette offre sans contrepartie. Seulement les rédacteurs exigent, de plus en plus d’être payés. Quel que soit leur niveau, leur production ou leur poste de travail dans une salle de presse, ils ont droit aux paies.
– Les médias alternatifs corrigent les "Fake News" de la presse manipulatrice.
dimanche 24 décembre 2017
Alors que l’année 2019 tire à sa fin, la question du financement est de plus en plus pertinente pour les responsables des salles de rédaction qui émettent les produits médiatiques qui sont imagés, textuels et vocaux. Les préoccupations budgétaires sont de plus en plus difficiles pour ceux qui ont commencé à se présenter comme des médias alternatifs, désirant de formuler des thèmes peu rapportés par la presse traditionnelle et corporatiste.
Les tendances qui dessinent l’avenir de l’actualité en ligne, s’interrogent sur la manière de répondre aux besoins du public, afin de la gagner, le fidéliser et le faire payer. Il y en tête des managers des titres nouveaux, présent sur le Web l’identification de leurs lecteurs.
– En 1er donc, c’est la support linguistique qui est choisi pour cibler l’audimat.
– En 2è position c’est la qualité de l’information qui tire sa substance des investigations. Qui n’est pas la primauté ou bien le "buzz". Mais bien l’utilité sociale (ou l’intérêt commun) des révélations proposées au public.
– Et enfin, l’utilisation des technologies qui facilitent l’obtention de l’information (par téléphone, tablette et ordinateur ou même TV), peut maximiser l’importance d’un sujet et le rendre favorable à celui qui le suit, pour son intelligence et ses autres ressources (d’entrepreneurs, de scientifiques, de citoyens...).
Voir en ligne : Notre dossier médias & presse
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