Depuis quelques années, l’université algérienne est absente lors des événements qui décident le sort du pays.
Accueil > Mots-clés > Critique & débat > fait divers, société, fléau, délinquance, religion
fait divers, société, fléau, délinquance, religion
Articles
-
L’université algérienne et le rôle de locomotive des grands événements.
6 mai, par Moussi Nassim -
Le procès d’un revenant de Guantanmo en Algérie et l’article 87-bis.
13 mai, par Rebel KazimirExtrait d’un rapport des services des droits de l’homme de l’ONU : « ... Gouvernement de votre Excellence sur des informations que nous avons reçues concernant les allégations de détention arbitraire, de torture et de mauvais traitements à l’égard de M. Saeed Bakhouche, dont la libération a été autorisée et qui a été transféré du centre de détention de la station navale américaine de Guantánamo Bay vers l’Algérie, le 20 avril 2023, et le risque qu’il puisse être victime de violations de droits humains, y compris d’une disparition forcée. »
-
2 terroristes bien armés, éliminés en avril 2024, au centre d’Algérie.
29 avril, par Djamel Damien BoucherefL’illusion de pouvoir terminer avec le terrorisme en Algérie ressemble au songe de pour limiter la "harga" des jeunes qui quittent le pays au risque de leurs vies. La malédiction qui fait usage de la religion, un programme politique, d’ailleurs adopté par les faux nationalistes, de la prédation de rente accaparée de ses titulaires que sont les citoyens, est plus ancrée en 2024 que lors de la "décennie noire". Le déclic pour le glissement à une violence à grande échelle, est souvent dans les discours des bureaucrates qui créent la menace obscurantiste.
-
Bon-vivre du modèle scandinave : gouvernance rigoureuse & harmonie sociétale.
24 mars, par Gros EmileDes indicateurs fondamentaux permettent aux gens de ressentir une bonne qualité de leur vie. Il s’agit de leur revenu, l’action pour leur santé, le soutien social qu’ils perçoivent, leurs diverses libertés, la solidarité qui exprime l’harmonie de la société et l’absence de corruption qui sont la base de l’appréciation que les habitants du bonheur. De même que les bonnes données sur les facteurs économiques sous-tendent la quiétude sociétale.
-
Aux USA les flics répriment toujours et même les manifs paisibles.
3 juillet 2020, par Azouz BenhocineContrairement à ce qui peut être perçu des manifestations antiracistes des Etats-Unis, la police est encore plus virulente et violente, surtout quand son personnel est dénoncé. Et c’est lors des manifestations qu’elle le démontre.
-
Une loi pour la filiation aux enfants nés sous X en Algérie.
23 août 2020, par Djamel Damien BoucherefJouir d’une vie normale, sans être pointés du doigt, telle est la conséquence de ce décret du 8 août 2020. Disposition pour laquelle tergiversaient, sans humanité, par le passé les responsables d’Algérie.
-
Espionnage de Pegasus, impunies charges du justiciable qui nuit encore.
17 janvier 2023, par Rebel KazimirDevant la Cour suprême des États-Unis la défense d’ONS, l’entreprise israélienne qui vend toujours le système d’espionnage des téléphones nommé "Pegasus" cite le droit à l’immunité souveraine. Ce qui a été rejeté, mais le problème demeure car les communications sont encore surveillées. Et le moindre des post sur les réseaux sociaux du Web est décortiqué par des cellules sécuritaires qui suggèrent la lutte contre les tendances complotistes qui s’attaquent aux institutions.
-
Le Hirak algérien demeure sur Facebook, Paris et la Kabylie.
28 septembre 2020, par Djamel Damien BoucherefSur Facebook, l’activité du Hirak tient à la notion d’une révolution (RDN=Révolution Démocratique Nationale). Mais la réalité se partage entre clients de l’islamisme et répression du gouvernement, forçant à l’exil...
-
Les détenus d’opinion en Algérie : atteinte aux libertés & recul de démocratie.
7 avril, par populiscoopCette autre demande de libération des détenus d’opinion en Algérie est suivie de l’ouverture des espaces d’expression. Les droits sont bafoués alors que les médias induisent un travail d’une piètre qualité, offrant aux publics local et mondial des productions et contenus confus, médiocres, inintelligibles et sans moindre esthétique. Les appels de ce genre sont nombreux, pour impulser les libertés. Mais les bureaucrates qui dirigent, avec le soutien de l’armée, brandissent le prétexte de menace de déstabilisation...
-
Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.