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La réparation efficace de l’ADN bon pour la longue vie selon un séquençage entier.

Signatures génétiques uniques, des gènes COA1 et STK17A, liées à la protection des maladies de l’âge.

jeudi 20 mai 2021, par N.E. Tatem

Les gènes sont tous des "variants" hérités de leurs parents, mais l’ ADN peut changer tout au long de notre vie. Certains de ces changements sont connus sous le nom de mutations somatiques. Ils se produisent dans des lignées cellulaires spécifiques dans tout le corps. Des chercheurs ont découvert que les personnes qui vivent au-delà de 105 ans ont tendance à avoir un bagage génétique unique qui rend leur corps plus efficace pour réparer l’ADN... Vieillir est une accumulation des détériorations des cellules et résulte sur des dérèglements du métabolisme.

La terreur des maladies de l’âge que subissent les humains vient de connaitre une compréhension partielle qui une avancée non négligeable. Les variantes génétiques liées à la réparation de l’ADN semblent contribuer à une durée de vie plus longue. Les indices sur la longévité humaine viennent d’être comprises après une laborieuse étude.

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Le « vivre longtemps » mobilise la science et les diverses corporations de médecine. Mais ce n’est guère facile de donner des réponses pour prolonger l’existence et en bonne forme physique. Des avancées récentes appréhendent mieux la compréhension les processus moléculaires du vieillissement, ce qui met sur la voie des apports pour repousser la fin de vie et les complications y afférentes.

Les résultats d’une recherche scientifique suggèrent que les mécanismes de réparation de l’ADN et une faible charge de mutations dans des gènes spécifiques sont deux mécanismes centraux qui ont protégé les personnes qui ont atteint une longévité extrême contre les maladies dues au vieillissement. Il est intéressant de consulter le patrimoine génétique des personnes centenaires.

Cette étude, visible sur le journal scientifique, de Californie à Berkeley qui est en libre accès, « eLife » qui publie, depuis 2013, des articles de recherche dans les domaines de la biologie et de la médecine, qui considérée assez complète du génome, a découvert un certain nombre de caractéristiques génétiques uniques à ceux qui vivent bien au-delà de 100 ans.

«  Elle est le premier séquençage du génome entier d’une longévité extrême à une couverture élevée qui nous a permis d’examiner les changements génétiques hérités et naturels chez les personnes âgées…  » , déclare Massimo Delledonne, professeur ordinaire de génétique à l’Université de Vérone et premier auteur de l’étude.

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Pour ces maladies de l’âge cardiovasculaires (MCV), les accidents vasculaires cérébraux, le diabète de type 2, l’hypertension, différents types de cancer ou la démence, qui font pression en fin de vie, les gènes jouent un rôle primordial. L’étude du vieillissement en bonne santé revêt une importance croissante car inévitablement, il est lié au fardeau cumulatif à ces maladies liées à l’âge.

La perspective de la « géroscience » (discipline qui répertorie des techniques envisagées pour prolonger le nombre d’années passées en bonne santé) a suggéré de considérer le vieillissement comme le principal facteur de risque qui soit commun pour plusieurs maladies et affections chroniques. Cependant, peu d’études génétiques ont suivi cette théorie pour élucider les mécanismes communs entre le vieillissement et les maladies liées à l’âge.

Les sciences ont expliqué que : «  Des études antérieures ont montré que la réparation de l’ADN est l’un des mécanismes permettant une durée de vie prolongée à travers les espèces…  » et ont rajouté : «  Nous avons montré que cela est également vrai chez les humains. Les données suggèrent que la diversité naturelle chez les personnes qui atteignent les dernières décennies de la vie sont en partie liées à la variabilité génétique qui donne aux semi-supercentenaires la capacité particulière de gérer efficacement les dommages cellulaires au cours de leur vie.  »

Le sujet du ralentissement du vieillissement a été un vrai casse-tête pour les chercheurs. La piste de réduire les facteurs de risque, courant pour plusieurs maladies et affections chroniques, fut la voie de prédilection en médecine. Cependant on découvre maintenant que la force d’un organisme, qui ne soit pas uniquement humain, de générer les gènes et à préserver le bon ADN est le secret de la longévité.

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