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Présidentielles 2024 des USA : remake pour establishment hégémonique.

Kamala et Trump font surenchère pour perpétuer le régime des maux mondiaux.

mercredi 30 octobre 2024, par Hugo Mastréo

Ceux qui sont passionnés, des USA et du continent américain, le savent : un vote présidentiel pour la Maison-Blanche est un pile ou face, plus précisément deux faces d’une même et unique pièce qui convoitent un trône qui se prétend à la tête du Monde. Un récent sondage explique les Américains croient plus les fausses infos, c’est la conclusion des décennies de mensonges des médias, tenant tribunes officielles de l’establishment.

La période préélectorale des États-Unis augure la façon dont le vote pourrait se dérouler, dans toutes les régions du pays, que ce soit au niveau d’un comté ou au niveau du bureau. La victoire de Donald Trump en novembre 2016 était plausible devant Mme Clinton et c’est encore un même scenario qui sera rejoué, d’après les suppositions du destin le plus concevable par les données.

Trump aligne ses partisans au sein du parti républicain à son image.

Les Américains des deux partis s’inquiètent de l’impact de l’IA sur la campagne présidentielle de 2024. La folie électorale qui montre une démocratie fonctionnelle, un contexte de malaise croissant concernant le rôle de l’intelligence artificielle, s’est installé depuis 2023. Avec la présence dans la vie quotidienne de cette technologie, une majorité d’Américains se disent préoccupés par l’impact de cette tendance sur la campagne présidentielle de 2024.

Également, le rabais de la confiance dans les grandes entreprises technologiques, est visible. Pour empêcher l’utilisation abusive de leurs plateformes pour influencer les élections, rien n’est fait. Tant que s’accentuent les manipulations du genre désinformation et introduction abusive de l’IA, alors que l’usage des réseaux sociaux est généralisé, le scepticisme est ouvertement affiché, y compris par les responsables et les candidats.

La course est très serrée, encore en 2024. Et ce qui s’est passé en Géorgie, pour le retard du résultat, il y a quatre ans, se répète. Aux États-Unis, les décomptes sont lents dans uniquement certains États. Ce qui laisse latitude aux spéculations. Et un vote, pour lequel les candidats sont au coude-à-coude, ouvre la voie aux confrontations de chapelles qu’aux vérités des observateurs de la régulation des échanges et challenges.

Dans le contexte d’une semaine précédant l’élection cruciale, le sujet des craintes qui concernent la désinformation en ligne, dans un tel vote américain, sont comme exagérées. Car peu de preuves dont suggérées sur ce qu’il pourrait déformer les choix des Américains. Oui, les jours qui précèdent et suivent le vote peuvent être vulnérables aux fake news. Les experts expliquent ce que l’on sait de ses origines, de sa propagation et de son véritable impact. Mais ne les arrêtent aussi.

La psychologie populiste de la classe dominante dans le vote de Trump.

Moult démonstrations sont les exposés des journalistes qui, telles des piles de thèmes, devraient encadrer l’élection pour aiguillonner leurs lecteurs. Insister sur le fait que le comptage des votes peut prendre un certain temps, plus que d’habitude, est une certitude. La soirée de la fin du scrutin peut devenir une semaine, selon le travail qui est attendu.

Lors des élections de mi-mandat de 2022, c’était tout à fait le cas. La Chambre des représentants n’a pas été convoquée pendant huit jours, et quelque chose comme ça pourrait certainement se reproduire. La lutte pour recompter peut provenir des deux parties en lice, alors les aventures de Trump seront encore la contestation de toute défaite.

Nous avons préféré publier notre sujet cette semaine, précédant l’opération cruciale, pour faire notre genre d’analyse qui a l’objectivité d’un article plus important lors de la période finale. Tous les journalistes réfléchissants, aussi comme nous, au type de questions auxquelles ils devraient essayer de répondre en premier. Et la mise en place de pipelines de données et d’outils qui aident à dépasser le moment, peuvent servir d’arguments.

Depuis des décennies, le soir des élections est non seulement le moment que vous verrez en direct les résultats, mais vous constatez également comment certains comtés votent et quel type de changements les observateurs de la course présidentielle suivent, analysent et les présentent au public. C’est ainsi qu’est supporté la transparence.

À partir de 2020, les choses américaines se déroulent ainsi. L’affichage des résultats électoraux et les commentaires des élections sont de plus en plus flous. Publier des extraits de précoces travaux de journalistes et des données, en temps réel, tout au long de la nuit électorale, restent une action médiatique imprudente, en dépit que le public adore ces projections.

Quel que soit le résultat du 5 novembre, une nouvelle donne sera en marche. Kamala remplace Biden et même le retour de Trump aux affaires semble être une autre version. Outre que cette dernière soit plus expérimentée, mais aussi d’un renouvellement du discours rodé propre aux States et le sien a perdu nombreux filtres. Un changement tient de l’élection présidentielle de 2024 aux États-Unis.

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Voir en ligne : USA - Etats-Unis

   
   

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