L’aube de la nouvelle planète technologique de l’IA a pour horizon essentiel de considérer non seulement ce qui est possible, donc ce qui est réalisable, viendrait inéluctablement pour que nos actions soient idéales dans ce domaine. Répondre à nos besoins, qui eux évoluent avec notre civilisation humaine, avec des produits et machines utiles et facilitant notre existence.

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Mais aussi ce qui est souhaitable pour l’avenir de l’humanité, qui recèle des créateurs inlassables, c’est d’être mieux servi par nos moyens et outils. La robotique est attendue, si elle est bien programmée, par cette innovation de l’IA, afin d’apporter des solutions. Elle sera potentiellement adoptée en industrie. Les foyers humains l’accueilleront en gadget avant de l’adopter réellement.

En termes simples, si j’ai faim, je peux demander à un robot humanoïde d’aller acheter mes patates, de les éplucher et de les cuire et me le sert pour que je me nourrisse. Puis d’écrire mon article pour Populi-Scoop, alors qu’il m’a déjà servi ma tasse de thé. De telles prouesses, réalisées par une machine, seront possibles à l’avenir et de plus en plus performants.

Pour des problèmes d’éthique, l’avis d’experts de différents domaines, notamment de la robotique, de l’éthique et de l’économie, pour encadrer et surveiller le développement des robots humanoïdes. D’autant sur le plan juridique, les législateurs arrivent après ouvrage fait. Leurs connaissances seront cruciales pour relever les défis et saisir les opportunités que présente cette technologie.

Dans la science-fiction, les robots humanoïdes sont bien établis et de réels progrès ont été réalisés à ce jour dans les labos des technologues. Une gamme de nouveaux modèles fabriqués ou soutenus par des sociétés telles que Boston Dynamics, Tesla et OpenAI sont capables de marcher et de se déplacer comme des humains, ainsi que d’accomplir des prouesses d’agilité et de dextérité.

Ils attendent l’évolution que leur soit intégrée l’intelligence artificielle (IA) pour posséder la capacité qui pourrait vraiment leur permettre de faire le saut dans la vie quotidienne. Des « cerveaux » dotés d’IA pourraient contribuer à améliorer considérablement la façon dont les robots humanoïdes interagissent avec les humains et le monde extérieur. Cela leur donnerait le « moment iPhone », c’est-à-dire qu’ils feraient une percée majeure sur le marché.

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Cette année, le robot Aloha de l’Université de Stanford est devenu viral sur Internet. Il a été vu en démonstration en disposition à préparer des plats chinois, à charger la vaisselle dans un lave-vaisselle, à préparer les lits et à ranger le linge dans l’armoire tout seul. À terme, ces humanoïdes seront déployés dans des domaines tels que les hôpitaux pour des rôles de soins, d’hygiène ou dans la sécurité publique. Il leur est nécessaire des connaissances professionnelles dans des secteurs précis.

Si le potentiel technologique des robots humanoïdes est indéniable, la viabilité commerciale de ces produits reste incertaine. Plusieurs facteurs influenceront leur acceptation et leur succès, notamment le coût, la fiabilité et la perception du public. C’est en satisfaisant des utilités ultimes qui aident les éventuels propriétaires à les posséder.

Historiquement, l’adoption de nouvelles technologies se heurte souvent à des obstacles liés à la confiance des consommateurs et à l’accessibilité financière. Pour que l’Optimus de Tesla réussisse commercialement, il doit non seulement prouver ses capacités techniques, mais aussi démontrer des avantages tangibles qui dépassent ses coûts.

Les modes d’exploitation d’énormes quantités de datas, leur permettant de fonder leur action, s’affinent avec les améliorations en cours. Certaines entreprises de haute technologie lorgnent déjà au marché, car le potentiel d’apprentissage, avec l’avènement de l’IA, des robots humanoïdes, est indéniable. Ces facteurs influenceront leur acceptation et leur succès, surtout le coût, la fiabilité et la perception du public.