Accueil > Editoriaux / Opinion > Editorial, opinion, point de vue, déclaration, paix, pertinente, monde, (...) > La fonte des glaciers s’arrêtera dès réduction des gaz à effet de serre.
Une étude précise que l’objectif de la COP-21 peut arrêter la montée des mers et océans.
lundi 9 janvier 2023, par
Etroitement conséquents l’un de l’autre, la fonte des glaciers advient du réchauffement climatique. Ce dernier peut se montrer comme la métamorphose de la température globale la plus risquée. Elle est causée par l’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Elle a pour effet à terme la liquidation des glaciers qui coiffent les hauts monts et les pôles terrestres. Et d’autres dégâts sur l’environnement vital surviendront...
Les gaz à effet de serre absorbent et retiennent la chaleur du soleil dans l’atmosphère, tel un parasol ou une coque superficielle au niveau des strates élevées de l’atmosphère. Ils endiguent les rayons de l’astre, à qui revient notre système planétaire, bien flamboyant pour causer l’augmentation des températures moyennes à la surface de la Terre. Celles-ci provoquent la fonte des glaciers et engendrent une élévation du niveau des mers et des océans.
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En conséquence des températures plus élevées, les glaciers fondent. Début 2023, c’est une mauvaise nouvelle qui s’impose à nous quand le réchauffement persiste et en conséquence aggrave la situation. Pourtant une récente étude que si les recommandations de la cop-21 de paris seraient respectées, il y a de fortes possibilités à freiner la décadence climatique avec un effort…
Ce qui peut avoir des contrecoups sur les habitants hébergés par les eaux qui couvrent 70% de la planète. Des régions entières du Monde s’attendent à leur engloutissement sous des eaux existantes et qui montent telles que les mers. Ces montées de niveau des espaces aquatiques sont ruineuses pour les communautés humaines, animalières, végétales et géographiques côtières à travers le monde entier.
L’effet de la perte des glaciers est multiple. Sur-place où existaient ses amas d’eau solidifiée par le froid, c’est un paysage naturel d’un lieu qui va se détériorer. Cela aggravera l’érosion des sols et les glissements de terrain. Cette perte des amas froids aura un impact sur la gestion des ressources en eau douce avec de graves conséquences sur les populations locales qui en dépendent.
Les effets de l’élévation du niveau de la mer de la perte des glaciers sont bien moindres que celles des calottes glaciaires des 2 pôles terrestres. Leurs conséquentes sont toujours les mêmes et difficilement réparables. Les scientifiques sont catégoriques dans leurs constats et solutions.
– Les glaciers ont contribué à environ 21% de l’élévation mondiale du niveau de la mer de 2000 à 2019, selon l’étude.
– Le niveau mondial de la mer pourrait augmenter de 90 à 154 millimètres, soit de 3,5 à 6 pouces, en raison de la disparition des glaciers d’ici 2100, en fonction de l’ampleur du réchauffement, a averti l’étude.
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Jason Box, chercheur sur le climat au Service géologique du Danemark et du Groenland, n’a pas pris part à l’étude dont l’exposé a été publiée le 5 janvier 2023 dans la revue « Science ». Il dit : « …la limitation du réchauffement par la réduction des émissions de carbone et l’élimination du dioxyde de carbone a pour effet d’appuyer sur les freins pour ralentir le la perte de glace et ses conséquences négatives globales… »
La recherche utilise une modélisation informatique qui intègre de nombreux scénarios différents d’émissions futures et de changement de température. Comme le montre la date de publication, c’est une nouvelle étude. Elle donne un regard neuf sur le sort de chaque glacier sur Terre dans un monde qui se réchauffe, fournissant de nouvelles projections de fonte et des détails régionaux.
A titre d’exemple, le parc en Amérique des Glaciers mitoyen au Canada, l’Alaska qui plus côtier aurait besoin d’un nouveau nom s’il perdait les glaciers. Et les Alpes verraient disparaître leurs glaciers restants, entre autres régions. Les résultats de l’étude montrent qu’il existe une relation linéaire entre la perte de masse de glace et l’augmentation des températures mondiales.
Ce qui peut apporter une atténuation plausible du réchauffement climatique d’après l’objectif de la cop-21 de Paris qui n’a pas de rival plus ambitieux. La situation actuelle est que la grande majorité des glaciers de la planète fondent. Ils rétrécissent suite aux températures plus élevées, à des précipitations plus importantes et à des températures océaniques accrues qui entame les plates-formes de glace flottantes des glaciers marins.
Voir en ligne : Réchauffement climatique, environnement, écologie
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