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Désastre environnemental des ressources pour la voiture électrique.

Fabriquer des produits dits verts à partir de matières premières coûteuses.

jeudi 15 décembre 2022, par Gros Emile

L’industrie de l’automobile qui englobe celle de la logistique en poids lourds, vit un blocage majeur dans la mutation à l’électrification du transport qui impacte favorablement l’environnement, en atténuant le réchauffement climatique. Alors on parle de la difficulté des batteries qui ne tiennent pas l’autonomie, endiguant l’adoption généralisée. En accumulant plus d’énergie tout en étant moins cher et plus petite, ce stockeur d’alimentation énergétique reste encore perfectible.

Les matières premières en général sont identifiées comme une malédiction pour le changement climatique, du fait de leur extraction qui touche défavorablement les sols. Elles sont voraces en énergie même si elles sont et malheureusement prises pour faire des productions dites vertes. Laisser les minéraux qui sont des ressources à destination de diverses fabrications, devenir la source de la prochaine catastrophe, est difficile à expliquer.

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Particulièrement l’avènement de la voiture électrique qui est déjà opérationnelle et présente dans la consommation et de plus en plus présente dans les achats de consommateurs et les parkings, pose la question du coût environnemental de sa fabrication. Outre son prix exorbitant à la vente et le déficit en autonomie qui ne la rendent pas au service d’un large public, les scientifiques alarment de leur échec. Car ils essaient de développer des batteries de nouvelle génération et légères en tout mais en vain, pas encore…

Avec un fort discours environnemental, il faut dire que la production des technologies nouvelles est polluante et augmente ses effets négatifs. Elle se fait au détriment des personnes et de l’environnement, avec une clarification largement partagée par les climatologues et spécialistes environnementaux. Des minéraux prétendument verts deviennent la source de la prochaine malédiction venant des ressources utilisées, car pour les produire il faut souiller davantage la nature.

Tirer la sonnette d’alarme sur l’avenir climatique, en exhortant les nations à respecter leurs engagements en matière de réduction des émissions de carbone dans l’atmosphère, ne suffit pas. Il convient de rappeler aux entreprises de citer clairement l’impact environnemental de tous leurs productions. Que cela n’échappe pas, l’extraction de toutes les ressources est mal gérée.

Les innovations technologiques et le recyclage des métaux peuvent réduire la quantité de nouvelles exploitations minières nécessaires pour un avenir à faible émission de carbone. La demande pour une série de métaux devrait augmenter. Ceux déjà omniprésents comme le cuivre, qui est un intrant clé pour les systèmes solaires photovoltaïques, l’énergie éolienne et d’autres technologies à faible émission de carbone, et autres minéraux peu connus comme le gallium nécessitent de lourds moyens.

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Dans la quête de la transition verte pour l’objectif d’endiguer le réchauffement climatique, il ne suffit pas de passer d’un secteur énergétique sale à un autre de même utilité mais plus propre. Cette transition doit également être appropriée à la manière de ce qu’on utilise globalement, en moyens pour arriver au dessein de réduire et non d’augmenter les effets néfastes des marchandises.

Les véhicules électriques s’appuient de plus en plus sur des batteries contenant peu ou pas de cobalt. Les dirigeants de l’automobile ont investi au cours de la dernière décennie dans l’abandon du métal au milieu de rapports selon lesquels le travail des enfants était utilisé dans les mines de la République démocratique du Congo, le plus grand fournisseur de cobalt au monde. Ce qui est un petit pas, car la misère demeure !

Un boom du lithium, l’élue matière pour une bonne batterie, pourrait aggraver les conditions de sécheresse dans certains pays. Au Chili, l’extraction du lithium menace de conduire à l’extinction des espèces rares comme les flamants roses, et au Nevada, les éleveurs craignent que cela ne nuise aux ressources en eau.

Environ 300 miles (465 km) est actuellement le quota d’autonomie, pour obligatoirement passer à la recharge. Ce qui peut subir l’apport de l’évolution qui est les consensus des droits humains au progrès, les chercheurs travaillent. Mais l’encouragement des consommateurs pour acquérir des véhicules électriques est d’abord le prix de la machine.

Jusqu’à ce qu’ils coûtent à peu près le même prix (ou moins) que les voitures actuelles à essence, les ventes sont encore moins que celles à moteurs à combustion fossile. Cette exigence du coût dépasse celle de l’autonomie pour enclencher la transition au type de véhicule moins polluant tant galvaudée.

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Voir en ligne : Réchauffement climatique, environnement, écologie

     
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