La réalité virtuelle peut fournir un environnement contrôlé. Elle sert pour les tests utilisateur immersifs. Parmi les moyens technologiques, pouvant réaliser une présentation dans son espace de vie, cette « RV », produite par les casques, offre des expériences similaires à notre existence réelle. Elles ne sont pas en contraste avec les décors naturels, car ils les dupliquent fidèlement.

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Dans de futures recherches, sont prévues également d’autres possibilités de mesurer les changements physiologiques, tels que la température ou des odeurs et des sons pour créer des atmosphères multisensoriels et immersifs. Alors que maintenant c’est l’apport d’un entourage embelli ou morne, les décors qu’on voit, laissent une sensation spécifique pour tout individu.

C’est une étude (son exposé en accès libre avec ce lien) consacrée à un groupe qui constate qu’outre les réactions de l’humain et les effets sur son humeur des couleurs, il y a influence sur l’esprit (moral ou humeur). Notre récent article sur le métavers explique d’autres usages et applications, avec les nouveaux moyens de la communication sociétale, de ce qui est la « VR » et ses montages en 3D d’une scène d’immersion ou de présence du sujet.

Le bruit, la circulation ou les changements météorologiques sont dans le quotidien de l’humain. Des éléments qui l’influent car il leur est en interaction. L’étude publiée sur « Frontiers in Virtual Reality » ouvre ainsi son article : « On dit que les environnements verts ont un impact positif sur l’activité physique spontanée et le bien-être. »

Pour mesurer l’effet des couleurs et lumières sur le comportement et les sensations humaines, cet outil a servi à une expérimentation de chercheurs de l’Université de Lille, en France. En utilisant la réalité virtuelle pour tester la réaction des volontaires aux variations d’un paysage urbain minimaliste en béton, verre et métal, les scientifiques ont pu observer leur état psychique.

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L’expérience a concerné 36 participants qui ont marché sur place dans un laboratoire portant un casque VR avec des trackers oculaires. Les chercheurs ont modifié leur environnement, ajoutant des combinaisons de végétation ainsi que des couleurs jaunes et roses vives et des motifs angulaires contrastés sur leur chemin.

Les 36 volontaires marchaient lentement, leur rythme cardiaque augmentait lorsqu’ils voyaient de la végétation verte dans leur milieu urbain. Ils gardaient également la tête haute, regardant vers l’avant et autour plutôt que vers le sol. En dandinant sur place, ils découvrent différentes versions d’un campus universitaire urbain minimaliste mais avec un engouement de couleurs et de plantes.

Ils portaient chacun un casque VR avec des trackers oculaires. Les chercheurs ont modifié leur environnement, ajoutant des combinaisons de végétation ainsi que des couleurs jaunes et roses vives et des motifs angulaires contrastés sur leur chemin. De la fréquence de clignotement, les chercheurs ont appris ce qui intéressait le plus. Ensuite ils ont rempli un questionnaire sur leur expérience.

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En vertu d’éléments présents comme des monuments, des montagnes ou des immeubles, l’avantage de montrer des transformations ludiques, des projets architecturaux et des actes culturels parvient avec ces outils.

Choisir un comportement naturel lors de la marche dépend de la perception de l’environnement qui a des couleurs et des végétaux qui influent sur le moral. L’objectif de cette recherche scientifique est de rapporter des données et des scripts qui décrivent les expériences psychologiques des utilisateurs humains dans une tâche comportementale écologiquement valide.

Exemple de rue animée, Chinatown à New York. Photographie : Peeter Viisimaa/Getty Images/iStockphoto