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Ce système solaire produit l’électricité et des végétaux.

Destiné aux zones arides, une prouesse essayée en Arabie Saoudite.

mardi 22 mars 2022, par Jaco

La prouesse de cette installation est de lancer une agriculture qui peut muer, de vivrière propre nourrissant les travailleurs de la terre, à devenir industrielle puisqu’il faut répondre aux besoins des urbains. Les légumes venus de la Sibérie qui préfèrent des climats froids, peuvent être plantés aussi là où les conditions leur sont favorables, l’expérience s’est concrétisée avec le navet et l’épinard. Le désert qui s’élargit au détriment des espaces cultivables, cette infrastructure est une réponse idoine.

Voici une étude expérimentale, accessible tous et son exposé en libre consultation. Elle a trait à la tendance générale de la production agricole dans les zones arides et l’aide pour la sauvegarde de la planète, alors que les questions environnementales son cruciales. Elle peut fortement aider les Etats, les populations, les chercheurs scientifiques et les fabricants à surmonter les difficultés prochaines.

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Un système solaire intégré produit de l’électricité avec de l’eau douce et des cultures dans les régions arides
L’article de ScienceDirect (en anglais) qui expose l’étude de faisabilité de ce projet.

Ce ne sont pas des fantasmes toutes les alarmes des scientifiques, le rapport du GEIC ainsi que les appels de l’ONU pour agir contre le réchauffement climatique dont les conséquences sont une vraie menace sur les humains. La raréfaction de l’eau a pour effet direct la menace d’un amoindrissement de la nourriture, outre bien un grand saccage de l’environnement et l’effondre de la vie.

Alors arrive dans ce contexte anxiogène de l’angoisse pour les dégradations de la planète et de l’augmentation des besoins de l’humanité avec l’explosion démographique, des solutions sont proposées. Et parmi ces dernières, le système WEC2P qui a été mis au point par des scientifiques de l’université des sciences et des technologies King Abdullah d’Arabie saoudite (KAUST).

Il se compose d’un réseau de panneaux photovoltaïques connectés reposant directement sur une couche d’hydrogel, qui forment le couvercle d’une boîte métallique inclinée comportant un petite ouverture/sortie à sa base. Il permet de faire pousser avec efficacité des plantes en utilisant de l’eau puisée dans l’air, tout en produisant de l’électricité.

Cette innovation fournit une stratégie abordable et durable pour améliorer la sécurité alimentaire et hydrique dans de nombreuses régions arides et semi-arides à travers le monde. Réduire la faim et la malnutrition, d’ici 2030, passe par l’encouragement des pratiques agricoles durables, l’amélioration des moyens d’existence et des capacités aux petits paysans avec une égalité d’accès à la terre, aux technologies et aux marchés.

En juin dernier, un test à petite échelle du système a été réalisé dans le désert d’Arabie saoudite sur une période de deux semaines. Impliquant un panneau photovoltaïque et une couche d’hydrogel d’une surface équivalente à celle d’un bureau d’étudiant, l’installation a produit, en 15 jours, un total de 1 519 watt/heures d’électricité, ainsi que 2 litres d’eau.

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Schéma de la configuration du système - (A–C) (A) Principes de fonctionnement du WEC 2 P. (B et C) Les configurations de dispositif de (B) refroidissement AWH-PV et (C) production d’eau AWH sont illustrées.

Quelques parts il est fondamental de fixer aux réalisations les végétaux qui prospèrent dans les régions désertiques. Les cultures qui sont possibles dans les zones arides et à fortes chaleurs sont déjà répertoriées par l’expérience humaines et les sélections des variétés appropriées aux conditions géographiques sont assez connues. Et intervient aussi les OGM pour répondre à des spécificités.

Les plantes qui ont prédilection de croître dans la chaleur sont les mieux adaptées à la production avec une telle infrastructure d’ailleurs légère. Les panneaux solaires aspirent la vapeur d’eau pour faire pousser des cultures dans le désert. Un hydrogel permet de surmonter la difficulté du réchauffement des plaques photovoltaïques, en les refroidissant quelque peu.

Les solanacées (tomates, poivrons, aubergines) et les cucurbitacées (concombres, melons, courges d’été et d’hiver) sont deux familles de plantes qui prospèrent par temps chaud. Le maïs et les haricots se portent également bien dans les régions chaudes. Le basilic est une herbe qui aime la chaleur et qui fleurit même pendant les étés les plus rudes du désert.

arde de la planète, alors que les questions environnementales son cruciales. Elle peut fortement aider les Etats, les populations, les chercheurs scientifiques et les fabricants à surmonter les difficultés prochaines.

Ce ne sont pas des fantasmes toutes les alarmes des scientifiques, le rapport du GEIC ainsi que les appels de l’ONU pour agir contre le réchauffement climatique dont les conséquences sont une vraie menace sur les humains. La raréfaction de l’eau a pour effet direct la menace d’un amoindrissement de la nourriture, outre bien un grand saccage de l’environnement et l’effondre de la vie.

Alors arrive dans ce contexte anxiogène de l’angoisse pour les dégradations de la planète et de l’augmentation des besoins de l’humanité avec l’explosion démographique, des solutions sont proposées. Et parmi ces dernières, le système WEC2P qui a été mis au point par des scientifiques de l’université des sciences et des technologies King Abdullah d’Arabie saoudite (KAUST).

Il se compose d’un réseau de panneaux photovoltaïques connectés reposant directement sur une couche d’hydrogel, qui forment le couvercle d’une boîte métallique inclinée comportant un petite ouverture/sortie à sa base. Il permet de faire pousser avec efficacité des plantes en utilisant de l’eau puisée dans l’air, tout en produisant de l’électricité.

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Cette innovation fournit une stratégie abordable et durable pour améliorer la sécurité alimentaire et hydrique dans de nombreuses régions arides et semi-arides à travers le monde. Réduire la faim et la malnutrition, d’ici 2030, passe par l’encouragement des pratiques agricoles durables, l’amélioration des moyens d’existence et des capacités aux petits paysans avec une égalité d’accès à la terre, aux technologies et aux marchés.

En juin dernier, un test à petite échelle du système a été réalisé dans le désert d’Arabie saoudite sur une période de deux semaines. Impliquant un panneau photovoltaïque et une couche d’hydrogel d’une surface équivalente à celle d’un bureau d’étudiant, l’installation a produit, en 15 jours, un total de 1 519 watt/heures d’électricité, ainsi que 2 litres d’eau.

L’objectif d’exploiter le désert qui s’élargit au détriment des espaces cultivables, cette infrastructure leur est idoine est l’objet auquel se consacre l’agronomie. Le navet ou l’épinard qui sont des légumes venus de la Sibérie et préfèrent des climats froids, peuvent être plantés aussi là où les conditions leur sont favorables. Cette infrastructure leur est idoine.

Elle a pour but de commencer avec une agriculture qui peut muer, de vivrière propre pour nourrir les travailleurs de la terre. Puis se développer en s’élargissant à industrielle puisqu’il faut répondre aux besoins des urbains, où se tassent encore et davantage des populations fuyant les sols plus arides !

Ici, Dans cet équipement destiné au désert, pour capter l’eau flottant dans l’air et produire des plantes, il est expliqué qu’un hydrogel sert à les refroidir. C’est la raison pour laquelle le projet "Desertec" a été abandonné. Parce que quand les plaques photovoltaïques chauffent, leur productivité d’électricité diminue à plus de 50%.

Illustration.

 Montage expérimental du système intégré de coproduction eau-électricité-cultures (WEC 2 P)

 (A) La photo numérique du PGU déployé. Les deux bouteilles en verre d’une capacité de 2 L avec des bouchons bleus étaient les bouteilles de réservoir qui ont été remplies avec environ 3,4 L d’eau propre au total à partir de la section « Refroidissement AWH et test de production d’eau douce ».

 (B) PGU avec bain de terre et épinards d’eau plantés .

 (C) La paroi latérale en carton perforé.

 (D) Etat de croissance des épinards d’eau.

 (E) Hauteur de la tige des épinards d’eau pendant le test. Les barres d’erreur décrivent les plages de hauteurs de tige mesurées au cours des jours auxquels il est fait référence.

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Voir en ligne : Agriculture & Agronomie

     

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