On peut aussi réactiver la juvénilité à l’aide d’une récente technique dont le japon est le leader incontesté. Elle porte sur la cellule souche induite qui retrouve des capacités pluripotentes connue des cellules souches embryonnaires. C’est-à-dire qu’elle peut se différencier en n’importe quel type de cellule adulte, par exemple du neurone, cardiaque ou une épithéliale ou celle des surfaces comme la peau et autres parois couvrant des organes.

Se sentir jeune réduit le stress dû au vieillissement.
28 juin 2021

On connaissait le procédé, du moins après l’avoir compris il fut essayé aussi, sous forme de pointilleuse technologie de génie génétique ou de biotechnologie. En 2016, la reprogrammation cellulaire a inversé le processus du vieillissement chez des souris de labos, en dépit que des cas ont développé des tumeurs. Ces derniers aident à mieux cerner pour les autres qui sont sains.

Cette prouesse fait penser à la prétention à l’immortalité, rien que ça comme fantasme louangé. Aucun essai clinique chez l’humain n’est donc raisonnablement envisageable à ce stade du savoir. Dans la visée d’une éternelle jeunesse qui ne serait être fixée à un âge donné, car le prolongement scrutera jusqu’où ira l’étalement d’une existence. Malgré les rêves des plus fortunés, le rajeunissement humain n’est pas pour demain.

La transformation artificielle qui permet de modifier l’état d’une cellule peut évoluer avec les acquis scientifiques. Lancée officiellement le 19 janvier 2022, Altos Labs, la société de biotechnologie vise effectivement le rajeunissement. Eprise du sujet et dotée d’une équipe des plus compétentes au Monde, cette entreprise vient de glaner 3 milliards pour ses recherches. Ce qui inspire un nouveau défi qui a des espoirs, pour ne pas dire promesses, à tenir.

Le blanchiment de la chevelure dû au stress et se répare avec la relaxation.
24 juin 2021

Le matériel manipulé est la cellule souche qui, depuis la découverte de sa caractéristique à être matrice de plusieurs possibilités, en étant indifférenciée et en mesure d’adopter des variations et déclinaisons. Elle est capable de s’autorenouveler, de se différencier en d’autres types cellulaires et de proliférer en culture, ce qui ressort vertus.

Des travaux de recherche fondamentale visant à comprendre parfaitement les mécanismes moléculaires de la reprogrammation cellulaire sont nécessaires, pour une maîtrise des risques cancérigènes, puisque du point de vue expérimental et à ce stade tel est l’inconvénient. Ce qui permet de dresser l’obligation de sécuriser son exécution en actes de la médecine régénératrice.

La reprogrammation cellulaire possède un énorme potentiel de développement pour améliorer la santé humaine, en facilitant les tests toxicologiques développés par l’industrie pharmaceutique. Elle permet également la modélisation de maladies en vue de leur compréhension et pour tester de nouvelles approches thérapeutiques. Cela dit, il est clair que le chantier est vaste dans ce créneau.

Durée de vie : de nouveaux travaux pour ralentir le vieillissement.
15 décembre 2020

Les cellules souches pluripotentes, servent à l’élaboration de nouveaux médicaments et de nouvelles thérapies, alors la reprogrammation permettant leur rajeunissement servira-t-elle à une revitalisation du corps entier ? Actuellement, où en est la médecine régénérative ? Peut-on espérer mieux soigner ou rêver, comme Jeff Bezos, de rajeunissement, voire d’immortalité ?

La possibilité de faire rajeunir nos cellules s’est précisée en 2006. Puis avec les travaux du prix Nobel de médecine 2012, du chercheur japonais Shinya Yamanaka, le champ de recherche jusque-là impensable.

Ces travaux sont basés sur l’introduction de quatre gènes spécifiques dans le génome de n’importe quelle cellule adulte (cellules de la peau ou cellules du sang par exemple) la fait rajeunir à un stade embryonnaire qu’on appelle cellule souche pluripotente induite et que l’on nommera cellule souche induite pour plus de simplicité.

Revigorer l’organisme n’est une mince affaire. Les réactions immunologiques des cellules ne répondent pas adéquatement aux attaques, avec le vieillissement. Ce dernier n’est pas uniquement une usure avec la fin de la fonction cellulaire. C’est surtout la vulnérabilité ou bien le principal facteur de risque de nombreuses maladies humaines.