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Manger de la viande rallonge la vie et améliore l’humain.

La science corrige une perception de mode à propos de la nutrition.

samedi 12 mars 2022, par Jaco

Même si l’éclairage scientifique a amélioré la nutrition avec l’aisance économique que des études faites dans certaines populations, surtout des pays développés, ont associé les régimes sans viande (végétariens et végétaliens) à une meilleure santé, il n’en demeure pas que la consommation de la viande a un apport inégalé en nutriments et un intérêt certain dans l’espérance de vie.

Une récente étude a démontré que la consommation de la viande favorise le rallongement de vie. Consultable sur le lien qui précède, elle a été faite à partir de données parvenues aux chercheurs de plus de 170 pays. Ce qui est même maintenant irrecevable dans les mentalités de la mode végane et végétarienne, n’est donc pas réaliste et bénéfique à la santé. Originellement les êtres ont prospéré sur l’inter-prédation des espèces…

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Même s’il faut tenir compte que les pourcentages n’ont pas un consensus scientifique général, ils étiquètent les possibilités réelles. D’abord l’héritage génétique acquis de la lignée occupe 20 à 30 % des crédits de l’espérance de la vie humaine. Nonobstant 70 à 80 % est déterminé par des facteurs environnementaux, comme la nourriture ou bien l’impact du climat, de l’habitat et d’autres facteurs.

D’emblée pour les décès des nouveau-nés où la maîtrise de prise en charge tels l’hygiène et la prévention des infections frappent fatalement. Ils se rajoutent à la nutrition qui semble être responsable outre des autres conditions d’exposition lors de la fragilité de la venue au Monde. Car la mortalité infantile dépend principalement de prédispositions de savoir et l’existence de la collectivité.

Cette recherche éclaire que ce qui est largement diffusé par d’autres scientifiques qui accablent les aliments carnés, prétextant l’effet sur la planète du règne animal et des bovins en particulier les grands élevages, n’apporte pas des preuves convaincantes concernant la nocivité de la viande. Cette remise en cause corrige la mode de ne pas manger des aliments d’ailleurs à la saveur avérée.

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À l’échelle mondiale, des analyses de corrélation bivariée (ou de 2 variables) ont révélé que la consommation de viande est positivement corrélée à l’espérance de vie. Cette relation est restée significative lorsque les influences de l’apport calorique, de l’urbanisation, de l’obésité, de l’éducation et des cultures d’hydrates de carbone ont été contrôlé statistiquement.

L’intérêt de la dimension génétique/environnementale met en interaction ces éléments qui informent sur la santé humaine. La nutrition offre les moyens d’améliorer la santé et le bien-être et agit comme un facteur prédictif du vieillissement et de la bonne ou mauvaise santé. Elle apparaît donc comme un des plus déterminants et majeurs de l’espérance de vie.

Des études approfondies concernant le rôle des régimes conventionnels contenant de la viande et du régime végétarien dans l’accroissement de notre espérance de vie ont été controversées et circonstancielles. Depuis le début du Paléolithique, la viande la consommation et tout corps animal a constitué une partie du régime alimentaire des hominidés.

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La viande a été avancée tant que composant de haute qualité du régime alimentaire, permettant d’augmenter la capacité corporelle et dimensions du cerveau tout en permettant en même temps de réduire la taille du tractus gastro-intestinal produisant des augmentations du rapport poids du cerveau/poids corporel.

Depuis 10 000 ans, l’homme sème et récoltent sur les sols une partie de ce qu’il mange. Il a été longtemps cueilleur après avoir goûté aux plantes qu’il rencontre. En
sortant de la mer, une eau fortement salée, son ancêtre s’est alimenté de viande de petits et grands animaux. Dernièrement il a été découvert que la consommation du sel n’entraîne pas obligatoirement l’hypertension artérielle, pourtant c’était différent...

Ce qui lui a constitué une nutrition optimale. Son évolution est due à ses adaptations génétiques, physiologiques, morphologiques et à son environnement. Alors que l’héritage est imparable chez les espèces qui ont opté à la consommation des végétaux après avoir longtemps des prédateurs d’autres êtres à la composition carnée.

Image d’UNSPLACH

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