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Vaccin anti-COVID-19 sans aiguille pour variant présent & prochain.

Plus efficace comme dose de rappel d’après ses concepteurs.

mercredi 22 décembre 2021, par Rebel Kazimir

Au fur et à mesure que le coronavirus se propage, son code génétique mute et chaque nouvelle variante a le potentiel de causer des difficultés. Alors que les scientifiques, notamment en pharmacopée ne baissent pas les bras. Ils poursuivent leurs diverses actions pour parer aux décès et, comme en militant, tentent d’alléger les charges de travail des services de santé.

Bien sûr les chercheurs ne peuvent pas offrir leur brevet et les fabricants survivent avec leur labeur. Ils recherchent de s’en passer des difficultés de logistique. Ce nouveau vaccin pourrait également être plus facile à distribuer, prétendant atteindre la prouesse de favoriser une commercialisation moins ardue.

Nous avons parlé d’un médicament qui s’absorbe avec un verre d’eau (cliquer le lien ci-dessous), voilà donc une nouvelle innovation intéressante. Depuis le 14 décembre, un essai d’innocuité de phase 1 du vaccin COVID-19 sans aiguille, sans injectable mais restant sous cutané, a été lancé au centre de recherche clinique de Southampton du National Institute for Health Research, aux Etats-Unis.

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Les vaccins à ADN ont historiquement été moins efficaces que les vaccins à ARNm. Donc même si la nouvelle injection est sûre, son efficacité devra toujours être prouvée. Ce nouveau vaccin entraîne le système immunitaire à reconnaître et à attaquer les parties du coronavirus qui ne sont pas sujettes aux mutations. C’est déjà atteindre le virus dans ces parties stables.

Nous en avons déjà vu la preuve avec la variante Omicron a plus de 30 mutations de pointe. Alors que ces dernières peuvent rendre les injections moins efficaces du des changements. Généralement les vaccins COVID-19 approuvés sont basés sur la protéine de pointe du virus. Celle évolutive vaccination va avec les variants et en rapport avec sa contagion qui s’effectue par l’imprégnation pénétrante des cellules.

Les nouvelles cibles sont également communes à tous les bêta-coronavirus connus. Le type (ou famille) qui constitue la plus grande menace pour l’homme, y compris le SRAS et le MERS, sont de ce groupe. Ce qui signifie que le vaccin pourrait potentiellement nous protéger du COVID-19, du SRAS, du MERS et même des futures maladies.

Lors de cette dernière décade l’année 2021, l’équipe de Cambridge qui mène le travail de conception d’un vaccin anti-COVID-19 sans injection, recherche maintenant des volontaires adultes, en bonne santé de moins de 50 ans qui ont déjà reçu deux doses d’un vaccin COVID-19, afin de les faire participer à l’essai.

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Après avoir reçu le nouveau vaccin, ces volontaires seront suivis pendant un an pour contrôler son innocuité. C’est un peu une tradition concernant les vaccins, notamment tels les antigrippaux, de suivre, lors de dette période, comment l’organisme et la population interceptent le soin.

Alors que les vaccins de Moderna et de Pfizer sont des vaccins à ARNm qui doivent être conservés extrêmement froids, ceux de Cambridge utilisent de l’ADN synthétique, qui est beaucoup plus stable et pourrait être fabriqué sous forme de poudre et transporté à température ambiante.

Généralement les vaccins COVID-19 approuvés sont basés sur la protéine de pointe du virus. Des mutations rendent les injections classiques moins efficaces. Nous en avons déjà vu la preuve avec la variante Omicron, qui a plus de 30 mutations de pointe.

D’après le communiqué des chercheurs, ce n’est pas simplement et uniquement un autre vaccin contre le coronavirus, avec sa performance de prendre en compte des variantes de COVID-19 et même de viser de futurs coronavirus en vue. Donc il comporte l’idée de contrer cette maladie ainsi que les futures épidémies de coronavirus.

Ce nouveau vaccin se considère plus préventif, en s’attaquant aux variants présents et à ceux possibles d’émerger à l’avenir. Car il exploite bien des travaux et recherches déjà identifiés. Outre la facilité qu’il apporte en évitant la piqure de l’aiguille, car son injection est superficielle. Mais aussi son transport et sa commercialisation sont plus facilités.

Les variants : Andriy Onufriyenko/Getty Images

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Voir en ligne : COVID-19

     
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