Dans la pandémie mondialisée seulement environ 8% de toutes les personnes ont reçu une dose, alors que pour la seconde bien moins de la moitié de ces derniers le sont. Alors le virus a libre latitude de se propager, tout en continuant de muter sans relâche. Donc il est difficile d’arrêter cette maladie sans une immunité plus étendue dans les populations.

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1er septembre 2021

Les scientifiques qui travaillent depuis environ 2 années sur COVID-19, disent qu’il Il est presque impossible de prédire ce qui va se passer. Le cycle de plus de contaminations engendrant des variants du virus, a pour danger réel que la probabilité qu’émerge un qui soit pire que ceux traités. Ce qui actuellement est beaucoup plus élevée si le nombre d’infections en circulation soit plus élevé.

Ce qui se passe en Amérique latine, en Inde et en Asie est vraiment l’augmentation du nombre d’infections, ce qui rend plus volatiles les mutations. Et quand des pays étrangers aux pays développés ont du mal à avoir accès aux vaccins, les États-Unis, songeant à sa population, commence à peine le processus pour combler le vide de la diplomatie vaccinale.

Le ralentissement qui revient semble connaître une baisse de la demande de vaccination, malgré la propagation des variantes. Il est fastidieux d’expliquer que le variant comment sont arrivés les virus B.1.1.7 et B.1.351 du SARS-CoV-2 qui ont été détectés pour la première fois respectivement au Royaume-Uni et en Afrique du Sud et ont depuis diffusé dans de nombreux autres pays…

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Ce scénario d’abander le virus lui permet de proliférer des espèces. Dans ce qui est usine de génération de nouvelles variantes. Et cela se déroule dans les zones qui sont très durement touchées. S’il y a une nouvelle variante qui est terrible, elle ruinera 2022. C’est presque sûr qu’elle s’infiltre dans une région du monde très durement touché maintenant.

Et sera un variant de super-épandeur. Heureusement que les vaccins, conçus à ce stade, ont montré leur efficacité sur le variant anglais qui est neutralisé de façon presque identique au virus de référence. Ces variantes hébergeant diverses mutations dans le gène codant pour la protéine de pointe soulèvent d’importantes inquiétudes quant à leur potentiel d’évasion immunitaire.

La vaccination contre le coronavirus (COVID-19) a atteint 41,7% de la population mondiale avec au moins une dose d’un vaccin COVID-19. 5,66 milliards de doses ont été administrées dans le monde, avec une capacité quotidienne de 30,77 millions qui sont désormais administrées. Si 8% ont eu 2 doses, seulement 1,9 % des habitants des pays à faible revenu ont reçu au moins une dose.

Alors que les excités qui s’opposent à la réalisation de la vaccination, ils s’ancrent davantage avec le complot du business "Big Pharma" et d’autres thèses qu’alimente l’ignorance qui a fait dire à Trump, d’inoculer le chlore... Le rôle de la couverture vaccinale est d’endiguer les contagions. Ce qui est reconnue par les scientifiques, son impact de limiter les mutations du virus et d’assurer à la longue échéance l’immunité collective.