Les caractéristiques de base des sociétés humaines font apparaitre une relation transnationale entre la consommation d’énergie et un large éventail de besoins à satisfaire. Notamment l’espérance de vie, la mortalité, l’alimentation, l’éducation et l’accès à l’assainissement et à l’eau potable sont des indicateurs à la fois de fortification de la santé quand il y a le réchauffement.

Un recueil de recherches, pertinentes sur la santé, sélectionné par la revue britannique « The Lancet », publication médicale de référence à parution hebdomadaire, propriété du groupe d’édition scientifique Elsevier, livre son constat accablant. Les révélateurs disent qu’il y une défaite des projets climatiques. Les 5 dernières années sont les plus chaudes jamais enregistrées…

L’alerte du rapport du GIEC sur le climat, 6e sur la catastrophe aggravée.
16 août 2021

Elles se sont produites depuis 2015, année de la promesse de Paris à limiter à 2°. Aucun des 106 pays étudiés ne répond actuellement à l’ensemble défini des besoins humains dans des niveaux de demande énergétique compatibles avec la limitation du réchauffement climatique à 1,5 °C. Leurs économies pour satisfaire les nécessités humaines à faible consommation d’énergie.

Et c’est la santé qui préoccupe les responsables que l’on regarde les plus vulnérables des humains être aussi les plus lésés. A la lumière du réchauffement climatique signalé scientifiquement, la consigne est arrivée du constat que les décès liés à la chaleur chez les personnes âgées ont augmenté de plus de 50 % au cours des deux dernières décennies, d’où un rabaissement de la durée de vie.

En même temps que des milliards de personnes sont privées de leurs besoins fondamentaux, et les voies actuelles pour une satisfaction suffisante du nécessaire vital semblent ne pas y répondre, les mêmes politiques persistent dans cette voie. Toutes les consommations humaines impliquent des niveaux d’utilisation de ressources hautement non durables, mais ça continue.

« Climategate », le réchauffement climatique et la théorie du complot.
3 avril 2014

Les scientifiques continuent de réveiller les opinions sur les périls du réchauffement de la Terre. Mais la plupart des dirigeants mondiaux ont des actions actuelles profondément insuffisantes. Ils pourraient reconnaître les menaces climatiques pour la santé, mais sans la pression des classes sociales les plus exposées aux misères rien ne sera décidé et exécuté.

La sécurité alimentaire mondiale est menacée par la hausse des températures et l’augmentation de la fréquence des événements météorologiques extrêmes et dévastateurs. Il y a d’abord les familles qui s’adonnent à l’agriculture vivrière qui le ressentent. Alors que le potentiel de rendement mondial des principales cultures a diminué de 1,8 à 5,6 % entre 1981 et 2019, selon l’indicateur

Concrètement les impacts du réchauffement sur la santé sont observés sur tous les continents.
–  Il y a la propagation continue du virus de la dengue à travers l’Amérique du Sud.
–  Les effets cardiovasculaires et respiratoires que provoquent des vagues de chaleur et des incendies de forêt records en Australie, dans l’ouest de l’Amérique du Nord et de l’Europe occidentale, sont parmi nous.
–  Les effets des inondations sur la dénutrition et la santé mentale sont annuels…
–  … et avec des sécheresses en Chine, au Bangladesh, en Éthiopie et en Afrique du Sud.

Les effets en aval, affectant des systèmes environnementaux sont plus larges, qui à leur tour nuisent à la santé humaine. Chaque humain a un besoin de 25 à 45 GJ (GigaJoule), selon des estimations élaborées. Elles incluent une consommation d’énergie primaire pour l’espérance de vie et l’alphabétisation, donc avec des empreintes différentes sur l’ensemble de la planète.