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Un pansement pour blessure qui élimine la cicatrice.

Il arrête les saignements, soigne et ne laisse pas de trace.

mardi 24 août 2021, par Jaco

Il ne s’agit pas seulement d’un pansement qui soigne les plaies et évite que des cicatrices soient visibles à la partie du corps soigné. C’est aussi un protocole d’un traitement qui est pensé et expérimenté et qui a débouché sur l’une des prouesses des plus prometteuses. Elle doit être suivie par respect des proportions, des applications et des manœuvres.

C’est aussi esthétique qu’une couteuse et délicate chirurgie pour les grands et petits blessés. De manière à ne plus laisser l’étape post-traumatique plus compliquée, pour la vie des patients comme les brulés ou bien les accidentés, c’est une avancée médicale, à plus d’un titre, vouée à un brillant avenir commercial. Source de cet article, l’étude a été publiée, en libre d’accès, par la revue Nature Communications.

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Certainement la prouesse la plus attendue, depuis des décennies, en médecine. Elle est une solution magique de ne pas laisser de traces après une cicatrisation de blessure. Un chercheur d’origine chinoise, M. Wu, et travaillant à l’université de Chicago a fait la démonstration de l’usage d’un matériau de fixation des plaies qui fonctionne normalement avec une guérison sans trace.

La fiabilité du matériel est une fibre, qui, comme la colle chirurgicale, est biocompatible et est attendue être plus utile. Les traitements actuels des cicatrices ne sont pas idéals à l’amélioration de la fin des soins. Et aucun moyen éprouvé efficace ne peut empêcher la formation de cicatrices, surtout quand on se retrouve avec une plaie profonde ou avec des tissus superficiels désordonnés.

Les chercheurs ont démontré la capacité dans des modèles animaux. En conséquence ce qui suggère des avantages significatifs en tant que scellant pour les plaies traumatiques chez l’homme. Ce qui ouvre l’avenir à l’une des monumentales réalisations pharmaceutiques de notre époque. Une demande d’autorisation de mise sur le marché du nouveau médicament (IND) est déposée auprès de la Food and Drug Administration (FDA) américaine.

L’ensemble du système a été mis au point à l’aide d’un matériau biocompatible doté de propriétés adhésives. La fonction spécifique porte l’adhésion appropriée de la partie hôte à soigner. Le chef de l’expérience a précisé qu’il pouvait être utilisé à l’intérieur du corps, en adhérant aux artères et aux parois cardiaques qui saignent et en les refermant après une irradiation par la lumière UV.

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L’intervention d’un médicament élaboré consiste en la libération programmée combinant un matériau fait d’hydrogel de cicatrisation, sans suture avec un des microcapsules biodégradables. Ce qui permet de contrôler le moment où l’inhibiteur de TGF-β est libéré. Ce dernier est un assemblage de protéines, il est utilisé pour éviter notamment les rejets…

Il était reconnu que le pire d’une plaie est qu’elle laisse une cicatrice, mais il faut suive un protocole précis pour ce pansement. «  De cette façon, nous pouvons améliorer la réparation de la plaie cutanée et, après 7 à 14 jours, libérer l’inhibiteur qui bloque le processus de la cicatrisation de la peau en même temps en utilisant un seul matériau  », explique Wu.

«  De plus en plus de preuves suggèrent que le TGF-β est important dans la phase précoce de la réparation des plaies pour la cicatrisation. Mais, par la suite, le signal peut favoriser et renforcer la cicatrisation  », a déclaré Wu. Le choix du moment est donc essentiel. «  Nous ne pouvons pas simplement bloquer ce signal, car cela ralentirait la cicatrisation et serait dangereux pour le patient  », a-t-il expliqué.

Cette nouvelle méthode surmonte la formation de cicatrices en inhibant la synthèse du collagène par le blocage du facteur de croissance transformant bêta (TGF-β). Cette cytokine joue un rôle important dans la signalisation cellulaire, tant dans la réparation des plaies de la peau que dans la fibrose des tissus.

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