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Une avancée pour que le cerveau dirige à distance des machines.

Les 1ers bénéficiaires sont les malades handicapés à qui obéiront les objets.

vendredi 30 avril 2021, par Azouz Benhocine

Il suffit de donner un ordre, que le cerveau élabore et envoie à un appareillage, pour que l’environnement obéisse à un humain ayant un handicap physique empêchant ses gestes. Y compris pour les gestes que compensent les prothèses, la liaison est expérimentée fonctionnelle sur des cobayes. Bien sûr il faut que la matière cérébrale de la mémoire doit être saine, harmonieuse et en capacité de commander par sa propre volonté les éléments qui lui sont liés. Bluetooth et wiki assurent la transmission...

Pour les personnes atteintes de lésions gravement handicapantes, la science travaille beaucoup pour les aider à s’en passer de l’assistance d’autrui. Les machines qui obéissent directement à une commande du cerveau sont primordiales et font l’utilisation à domicile d’une interface cerveau-ordinateur évoluent parmi les équipements nécessaires à une vie normale pour les tétraplégiques.

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L’accès à la technologie dite "BrainGate iBCI" est une haute performance pour cette Startup qui est de l’une des sociétés d’Elon Musk. Elle assure l’interface cerveau-ordinateur « intracorticales ». C’est celle utilisée qui peut être faite à domicile. Elle promet d’améliorer l’autonomie et de rétablir la communication et la mobilité pour les personnes ayant une déficience motrice grave.

Elle a la capacité à restaurer et à préserver la fonction neurologique qui permet de contrôler des appareils externes simplement en imaginant le mouvement du bras ou de la main chez les personnes atteintes de paralysie.

Une sclérose latérale amyotrophique, une lésion de la moelle épinière ou un accident vasculaire cérébral peuvent devenir tétraplégiques, incapables de parler ou de rendre même les malades complètement enfermés pour leur environnement. Mais la technologie venant de ses réponses médicales aide à surmonter l’immobilité entière des corps des humains.

La possibilité de faire en sorte que des personnes lourdement handicapées utilisent des systèmes qui les soutiennent dans certaines tâches à la maison et à leur demande, est un grand pas en avant. C’est même avec stupeur que les familles et les milieux médicales ainsi les services sociaux accueillent ces éminents progrès.

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Une frappante vidéo, représentant exactement un produit de Neuralink qui montre un singe macaque qui joue au Ping-Pong en utilisant rien d’autre qu’un implant cérébral connecté sans fil à l’ordinateur hébergeant le jeu. Ce qui prépare à soumettre cette conception à des tests sur des humains. On ne sait pas quand la startup aura suffisamment de données pour être prête à exécuter cette ultime expérience.

Il s’agit d’une démonstration fantastique de la technologie, la plupart des éléments individuels de cet exploit ont déjà été réalisés - dans certains cas, plus d’une décennie auparavant. La technologie de Neuralink s’appuie sur des décennies de recherche pour l’amélioration. Neuralink a réussi à franchir deux étapes importantes miniaturiser l’appareil et l’amener à communiquer sans fil.

Ici le singe a appris à jouer au Ping-Pong sur écran. Puis il a pratiqué, dans cette vidéo dans un premier temps, avec la manette. Et enfin, avec seulement son cerveau il a continué de jouer, sans toucher à rien et sa manette retirée. En seulement songeant à faire sa partie. De quoi envisager d’installer le même système, qui est invisible et sans encombres, sur les humains qui ont des gestes limités.

Le grand développement est de faire fonctionner le système sans fil. C’est plus difficile qu’il y paraît. Un neurone produit bien des données et pour contrôler le flux c’est délicat. Même au repos l’activité du cerveau reste dynamique, ce qui vient d’être réalisé est perfectible.

L’équipe de recherche essaie de comprendre comment les neurones communiquent à travers ces pics d’activité. Enregistrer tous leurs détails est lourd. Juste une poignée de neurones nécessite une connexion à bande passante élevée aux électrodes du cerveau. Les scientifiques ont recours à la compression des datas.

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