Accueil > Humanité > Durée de vie : de nouveaux travaux pour ralentir le vieillissement.
Des cellules âgées réparées et des protéines spécifiques d’"ISR" freinées.
mardi 15 décembre 2020, par
Désignons-les pour deux thèses sur les possibilités de rallongement de la vie des humains. A ce stade de recherches scientifiques, dont les conclusions ont été publiées, elles continuent le progrès sur la durée de vie qui est propre à chaque être vivant. En sachant que la maximale s’allonge grâce à l’amélioration de la santé. L’une travaille sur les gènes et l’autre table sur un médicament "ISRIB" qui a effet chez les cobayes animaliers. Elles se vérifient au point théorique et expérimental.
C’est l’une des espérances la plus escomptée de la science, voire beaucoup attendue de la médecine. Rester jeune ou bien rallonger la vie à une date sans fin. Déjà l’évolution humaine, de ses savoirs qui ont évolué, bien des maladies sont battues et des douleurs restreintes. Ça continue encore de bosser dur dans ce sens. Le déclin mental et le vieillissement cellulaire est, corrigé, en rabais…
Transfusion du sang jeune, des essais de labo à la pratique clinique pour les humains
samedi 9 novembre 2019
Les télomères sont une zone de l’ADN positionnée à l’extrémité d’un chromosome, servant à la stabilisation de leur support. Ils sont déclinés à tous les bouts et sont détectés comme l’élément exprimant le vieillissement et notamment pris en compte en oncologie (soins des cancers). Leur découverte a été récompensée par le prix Nobel de médecine en 2009 à Elizabeth H. Blackburn…
Une équipe de scientifiques ont réussi à les redimensionner ces télomères, précisément à les rallonger pour les faire durer. Comme leur taille serait prédictive a un pouvoir de réplication des cellules, voire de les régénérer saines. Ils sont la forme du plastique ou métal qui recouvre le bout d’un lacet de chaussure. Une présentation des travaux a été annoncée par ce communiqué.
En cas de mitose (multiplication de cellule), les télomères se répliquent quand c’est parfait. Mais c’est ce qui n’est pas évident à chaque reproduction. Ce travail qui table sur les aménagements physiques, consacre l’idée que les télomères rajeunis de 20%. Il s’effectue avec l’oxygénothérapie hyperbare (OHB), qui consiste l’absorption d’oxygène pur, pendant cinq séances de 90 minutes par semaine, sur trois mois au total.
Une nouvelle étude, publiée le 1er décembre 2020 dans la revue en libre accès eLife, a travaillé sur le cerveau et la cognition. Elle a été menée par des scientifiques de l’UC San Francisco. Le rajeunissement grâce à quelques doses d’un médicament expérimental est constaté. L’effet est une inversion de la baisse de la mémoire et de la flexibilité mentale liées à l’âge chez la souris.
Les performances physiques et le rajeunissement, avec la NAD dans le sang
mercredi 19 septembre 2018
Cette seconde recherche préconise que le redémarrage de la production de protéines cellulaires est peut-être la clé du frein contrant le vieillissement et d’autres maladies. Médicament annule le déclin mental lié à l’âge en quelques jours. Il impacte en modifiant également la fonction des cellules T du système immunitaire, qui sont également sujettes à un dysfonctionnement lié à l’âge.
Même en l’absence de maladie neurodégénérative reconnaissable, alors l’augmentation de l’espérance de vie ne cesse d’avancer de génération en génération, le déclin cognitif lié à l’âge est inévitable. Une mise en place intègre le stress (ISR) et est activée au cours du vieillissement. Elle contribue aux phénotypes cérébraux. La défaillance qui survient avec l’âge devient une préoccupation croissante.
Cette dernière étude sur le médicament magique qui serait la « RSI » réponse au stress intégré, qui serait aidé de médicament améliorant le déclenchement des conditions pour qu’une cellule résorbe les blocages dus au vieillissement. Le traitement serait physiologique et rendrait réversible les baisses de mémoire et de flexibilité mentale liées.
Bien sûr rien n’est révélé, mais les résultats, ci-après, chez les souris expérimentales sont encourageants.
– Restauration de la fonction de la mémoire, même en cas de traumatisme crânien (TCC)
– inverser les troubles cognitifs du syndrome de Down
– prévenir la perte auditive liée au bruit
– combattre certains types de cancer de la prostate
– et l’améliorer cognition chez les animaux sains est certaine.
L’administration d’ISRIB (inhibiteur de réponse au stress intégré) a inversé une légère élévation induite par un traumatisme crânien de la protéine. Puis utilisé pendant 3 jours consécutifs, la diminution des taux de protéine ATF4 (associés à l’âge) dans les lysats de cerveau de souris, les témoins traités ont montré une réduction persistante des niveaux de cette "ATF4" induite par l’âge...
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