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Projet de Google et Facebook pour payer les éditeurs de presse.

Pas seulement des nouvelles qu’ils diffusent, mais l’essentiel est dans l’info.

lundi 29 juin 2020, par N.E. Tatem

L’échange entre les sites Web qui rediffusent les contenus d’autrui sous la forme de copier/coller sont punissables sous les règles de la loi. Plagier est aussi inadmissible, d’après la déontologie ancienne et basique du droit d’auteur. Alors l’IA (Intelligence Artificielle) peut écrire des articles de presse, qui seront plus cohérents. L’avenir du journalisme opte à une meilleure qualité et des lignes éditoriales plus attractives, avec des méthodes nouvelles de traitement de l’information.

Ecouter l’article.

Prétendre à l’impartialité, galvauder les vocables comme « performance » et porter l’idéologie libérale qui impacte l’espèce humaine par la marchandisation de toutes les actions, ramène en finalité à produire des médias plus coûteux et accessibles seulement aux élites fortunées. D’où l’idée des supports alternatifs qui mettraient, selon leur propre appréhension, l’info locale et choisissent les sujets qui conditionnent la transformation continuelle de la vie.

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Wikileaks est passé par là, comme modèle pour faire l’alerte et l’investigation immersive. Et aussi le nouvel ancrage du journalisme prédictif, où la narration est construite par l’efficacité de la maniabilité des datas qui abordent demain par l’étude du passé et du présent. Le débat tient finalement aux ambitions de chacun et de tous. Alors que la contrainte des revenus évaporés avec les facilité d’internet, renégocie un autre avenir pour les journaux…

Les éditeurs de presse en ligne vont être payés par Google, d’après des tuyaux sortis cette semaine, dans les milieux de presse qui ne trouvent que peu de sauvetages pour leurs salaires et le financement de leur fonctionnement. Davantage, c’est là une ressource des plus opportunes. Quand le citoyen s’accommode de la gratuité de la distribution des infos dont la formule digitale est inspirante à diverses nouvelles demandes du public, il faut des moyens appropriés.

Les formulations d’un journalisme sont aussi, pour leur côté, innovantes, afin de répondre au mieux à la soif, d’une manière qualitative, pour la compréhension des faits. Les relations publiques dont ont besoin des institutions de l’industrie de l’information. Elle doit être disposée à refonder le socle intellectuel, mais aussi elle est obligée assouvir une éthique locale, dans le contexte, de la presse en ligne, mondialisé qu’offre la toile du Net.

Coup après un autre, Facebook a le 1er divulgué son idée, c’est donc le puissant moteur de recherche qui miroite la possibilité de rétribuer les producteurs de contenus informatifs sur Internet. Mais plus précisément les fournisseurs de l’actualité distribuée via les outils numériques. C’est que la relation qu’ont les deux géants, Google et Facebook, du Web avec les journalistes et les médias, est une course de concurrence. À qui revient de trouver l’info et de l’exposer plus rapidement et efficement ?

Depuis des années les supports de presse ont constaté que leur travail sert, comme d’ailleurs première matière échangée, dans l’achalandage, sans rémunération, des sites très visibles sur Internet. Alors que ces derniers prétendent toujours, en réplique à l’observation des journaux, qu’ils offrent gracieusement une prestation, tels des transporteurs, de faire parvenir aux consommateurs ce qui a été produit par l’industrie de l’info.

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On en arrive donc à l’épilogue qui n’est pas complètement activé. Google d’Alphabet Inc. a déclaré avoir conclu des accords avec des éditeurs, sélectionnés dans le monde entier, lire ICI. Pour autoriser le contenu des informations d’exister sur ses présentations. Et (ou bien) d’avoir obtenu d’en faire usage du fruit de leur travail journalistique. C’est un développement important dans le bras de fer qui s’éternise entre le géant de la technologie et les sociétés de médias.

Précédemment Facebook avait mis au-devant son projet de créer une section des actualités, parallèlement aux discussions des inscrits au réseau de socialisation le plus utilisé sur Internet. D’après les bribes préliminaires, Facebook Inc. offre aux médias, lire ICI, des millions de dollars pour les droits de mettre leur contenu dans un espace dédié aux actualités, que la société espère lancer plus tard cette année, selon des personnes familières avec le sujet.

Depuis bien des années que des discussions existaient entre la presse et particulièrement Google, mais tous les utilisateurs des réalisations journalistiques, tant en en Europe qu’ailleurs comme en Australie. Il a fait ses offres. En Allemagne, l’essai de faire payer Google existe depuis une décennie et est retenté. En Australie, récemment l’annonce d’un « code de conduite obligatoire » qui obligerait Google à payer pour les nouvelles australiennes. Et le Brésil, qui a sa propre histoire dans ce domaine.

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