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Pour la légalité et la colère en Algérie, le conseil constitutionnel et l’armée attendus !

Bouteflika Yel-Maroki est disparu des slogans, le mouvement se raffermit des adhésions qui le rejoignent

samedi 9 mars 2019, par Djamel Damien Boucheref

Jamais la solvabilité, des institutions algériennes, n’a été autant été questionnée que lors de la subversion collective contre l’éventualité d’un 5ème mandat pour Bouteflika. Plusieurs fois, sinon lors de toutes les expériences de transmission de l’autorité présidentielle, dans cette jeune république, le vacillement questionne la consolidation de la nation. Les crises mettent à l’épreuve de frêles et magnanimes appareils.

Toutes les velléités qui menacent l’Algérie sont l’œuvre de ses propres habitants. L’armée a la constance disciplinée de réagir aux épreuves endurées par le peuple au pays à la fragilité factuelle. Les militaires démontrent leur adhésion à leur communauté, une communauté de destin, plus exposé à l’avenir aux assailles des puissances économiques internes qui se sont lancées dans l’accumulation de capitaux et des pseudos idéologies manipulatrices des filins mystiques.

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Des défis rappellent qu’il faut aux appareils, à l’identité et à la société de se muer sans s’aliéner sous les coups de l’autoritarisme qui du nationalisme se mue en tentation théocratique. Le départ de Bouteflika n’est pas facilité par les interférences et les surenchères du vieux et obsolète nationalisme qui a démissionné de sa mission d’édifier un Etat moderne et de passer le flambeau à la jeunesse éduquée. Il s’est assigné à distribuer la rente et d’aller à un cas d’idol tre conservatisme.

La lourde responsabilité du conseil constitutionnel algérien est partagée avec l’armée qui doit, l’institution qui est constitutionnellement chargée de la sécurité, mettre le holà ! Alors que la contestation prend de l’ampleur et les déviations s’esquissent conséquemment du pourrissement, quelles intentions peuvent se dégager de ces deux appareils ?

L’approbation ou bien le rejet de la candidature de Bouteflika, expliquera de quoi sera faite, désormais d’une manière définitive, l’entreprise perfectible de la démocratie dans ce pays. C’est l’occasion du dénouement historique, comme les principes des droits citoyens, et parmi eux ceux de la femme, qui ont été déclamés le 8 mars, appartiennent à l’épilogue de ces manifestations.

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Le mouvement contestataire collectif s’inscrira définitivement dans l’histoire d’un pays venant de démontrer que sa société est chevronnée de l’éducation que lui ont prodiguée ses luttes. La qualité de la révolte de la révolte contre la présence de Bouteflika dans le challenge électoral qu’il a annoncé pour le 18 avril, renferme bien le style de la profondeur de ce qui est le « Printemps Arabe ».

« Printemps Algérien » qui guide vers l’envol permettant de surmonter les plus élevés des obstacles mis, depuis la rupture de 1988, contre sa marche vers le progrès. La grande victoire des Algériens sur le clan dont le chef est totalement handicapé, mais utilisé par la volonté de sa tribu pour garder les commandes politiques et de la rente.

Au fur et à mesure que se raffermissent les manifestations contestant le règne interminable du dernier rejeton de la première république, les slogans deviennent plus significatifs. Ils interpellent davantage sur les inégalités, sur les libertés et l’avenir des générations pour qui l’avenir, dans un autre Monde désenclavé, serait uniquement radieux ou entièrement dans une « Algérie libre et démocratique » = « Djazaer Hora Dimocratya ! »

Participer à notre mini-sondage de moins d’une minute. Anonyme on peut exprimer, sans obligation, son opinion.

Sa question unique est : Qui après Bouteflika ?

Cinq choix ayant trait au profil, au parcours et à la personnalité du prochain président. ICI - MERCI

}Nous organisons des sondages et enquêtes. Vous êtes invités à vous inscrire à nos panels. Merci si vous participez.

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