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Missive au journaliste algérien qui plante les artichauts dans les cimetières

Que fera la jeunesse algérienne pour, Erth Hour (heure de la Terre), la planète le 30 mars 2019 ?

vendredi 18 janvier 2019, par Djamel Damien Boucheref

Le 30 mars prochain l’Algérie tiendra son "Erth Hour" (heure de la Terre), avec l’humanité. C’est le guide du routard « GDR » qui l’inscrit, comme RDV pour voyageurs. Et comme l’Algérie compte ouvrir son secteur touristique sur le Monde, en mettant les bouchées doubles en matière de communication à ce sujet, qui est un secteur économique de non-moindre importance, il faut se demander où sont les journalistes ?

De quoi parlent les précurseurs du progrès, qui se considèrent impartiaux dans leur mission d’informer ? Les éclairés qui exposent les vrais et bons (ou beaux) thèmes sont sûrement d’infatigables chefs d’orchestres qui conduisent les foules au moment et vers le lieu, pour animer les sentiments faisant l’avidité de sortir des méandres de l’arriération. Nous proposons donc ce redressement, sans vouloir trop indiquer de notre indexe, là bas, la lumière à ceux qui ne veulent guère la voir...

 ICI 30 mars RDV 2019 pour Erth Hour, en Algérie.

Dernièrement un journaliste algérien qui essuie à longueur d’année des qualificatifs parodiques de toutes sortes, en réaction à son impondérable médiocrité, s’est demandé où est passé la gauche de son pays ? Parce que s’accrocher à des sujets qui n’existent pas, uniquement pour calomnier ce qu’on considère un opposant idéologique, ne lui a été en rien serviable. On peut être déçu des politiciens, les orateurs et rédacteurs des médias, tous genres confondus, laissent à désirer !

 10 ans que Populi-Scoop est en ligne : l’escale du marcheur qui ne se retourne pas : NOTRE SONDAGE attend votre participation.jeudi 17 janvier 2019

La grotesque panne de la classe politique de ce pays qui tourne en rond depuis 1988, fait que l’éditorialiste ne se gêne, ni se lasse, pas de chercher des socialistes imaginaires. Ce sont simplement des progressistes que cet attardé réactionnaire recherche, pour faire son tableau de chasse et d’invectives. Les sujets intéressants qui éveillent la société algérienne, notamment la catégorie conscientisée, échappent à la droiture tant recevable et didactique. Les tenants des discours inconvenants sévissent encore.

Le réchauffement climatique est tant, soit peu, un inénarrable particulièrement en Algérie. Ce spectre argumentaire largement commenté, sous d’autres cieux, n’a pas effet sur les vieilles chroniques contentées de corporatisme. Pour l’initiative de 2007, l’Earth Hour, l’appel de l’ONG « World Wildlife Fund » (WWF) ne cesse de monter pour la sauvegarde des espèces et la protection de l’environnement. Tout un programme qui, aussi, est une attente de la jeunesse algérienne.

Créée en 1961, la fondation mondiale pour la nature « WWF » compte sur une mobilisation planétaire, mais peu de médias algériens ne la remontent au public. Même citée par la fabuleuse collection française des guides touristiques, plus connue en guide du routard « GDR », comme l’une des fêtes printanières majeures, pour le plus vaste pays d’Afrique, ces journalistes algériens qui remarquent la perte de la gauche et autres communistes se sentent égarés, complètement perdus.

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mercredi 16 janvier 2019

Mais qui se surprend que la gauche est partie, écrasée et sans espoir de retour ? La réponse est faite. La presse algérienne a fermé sa belle école et mis à la retraite des théoriciens fortement dogmatiques. Donc des analystes demeurent, en prise de ne pouvoir pas expliquer le profil des dirigeants qui gouvernent. Ils s’imaginent le deuil d’une gauche qui s’est « auto-licenciée », par sa propre autocritique, du paysage des opinions. Et dans ce pays, perdre sa seule boussole, c’est plonger dans les ténèbres.

L’ouvrage de l’ancien métropole coloniale qui a occupé l’Algérie 132 années, est une œuvre qui a un rayonnement universel. Publié chez Hachette Tourisme Livre, en 40 ans (de 1972 à 2012), environ 40 millions d’exemplaires ont été vendus du « GDR ». Lequel prétend que le 30 mars prochain, l’Algérie tiendra son Erth Hour (heure de la Terre), avec l’humanité. Mais là, très peu de journalistes rendent compte de l’apport du pays dans ces actions. Ou bien ils ne se demandent guère où sont passé les écologistes locaux ?

Participer à notre mini-sondage de moins d’une minute. Anonyme on peut exprimer, sans obligation, son opinion.

Sa question unique est : Qui après Bouteflika ?

Cinq choix ayant trait au profil, au parcours et à la personnalité du prochain président. ICI - MERCI

Nous organisons des sondages et enquêtes. Vous êtes invité à vous inscrire à nos panels. Merci si vous participez.

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Voir en ligne : Notre dossier ALGÉRIE

     
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