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Plus de données visibles, préalable à l’étude pour usage à chaque cas

Tracer des chemins vers la prospérité sur la géographie de la connaissance

lundi 10 septembre 2018, par N.E. Tatem

En matière de « data-science » (data-journalisme), nous sommes encore au stade préliminaire. Pour obtenir des statistiques ou bien des informations, détenus par les services étatiques ou les entreprises, nous passons par la vieille doléance administrative, pleine d’amabilité. Faut-il seulement disposer de ce qui est public, offert aux expertises ? Sinon, avec des coups de « Hack » (piratage informatique), les prendre, sans demander ni remercier.

Ou bien discuter avec ces sources d’emprunt ou de mise à disposition globale ou partielle des données qui permettent de dresser plus judicieusement des projets, n’est pas aisé. La bureaucratie ne sort pas facilement ce qui attire un concurrent ou un esprit d’investigation quelconque. Mais le jeu en vaut la chandelle, par la force de l’inexorable avancée des choses, nous quêtons la perfection !

Nous continuons sur Populi-Scoop notre vulgarisation d’une nouvelle science qui a des bénéfices sur plusieurs travaux. Du data-journalisme, il est intéressant de raconter des histoires et couvrir des activités avec plus de richesses en indices qui améliorent l’article et développent davantage les contours et le fond du sujet.

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Google s’est distingué, depuis sa venue au Monde, par sa volonté de vouloir d’agencer, dans l’ordre qui lui semble meilleur et intelligemment organisé, l’information. L’actualité brute comporte sa fraîcheur, avant qu’elle ne soit colportée à tous les horizons, mais les renseignements gardés quelque part et révélés pour leur valeur, servent à bon escient ce qui est l’intérêt général.

Pour la data-science qui émerge et avec l’avantage de la vélocité de notre époque elle évolue rapidement. Sur Internet le fabuleux moteur « google » vient de mettre sur un moteur de recherche dédié ICI. Il sert d’abord à trouver des données. Pour que les scientifiques, les journalistes, les utilisateurs dans le marketing, la recherche de données nécessaires à leur travail et à leurs histoires, ou simplement pour satisfaire leur curiosité intellectuelle, il y a enfin une plate-forme pour les chercher.

Transformer des données en arme bienfaisante ne se termine pas, quand et où s’arrêter ?

Puis la manière d’organiser des données n’est pas encore uniforme, car elle diffère selon leur qualité et la destination qui leur est réservée. En effet qu’est le principe du savoir de la « data-science » ? Pour la maniabilité utilise l’informatique et les mathématiques, afin de les exploiter pour des objectifs distincts. Et afin qu’ils donnent la matière qui inspire des anticipations, il s’agit de leur induire moult lecture, chacune sous le prisme d’un domaine ou d’un secteur d’activité.

Des fois il faut bien se demander pourquoi des pays se développent et d’autres stagnent, certains régressent et encore il y a même ceux qui plongent dans le désordre ? Lier la malintentionnée gouvernance, à l’incompétence, comme principale source de toutes les mauvaises pauvretés qui n’offrent aucune moindre possibilité pour être surmontées, peut être juste et même vérifié. Quand entre désormais en jeu la « data-science », on change…

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Cependant d’autres retards augmentent la misère et facilite la démagogie qui n’a pas la bonne solution. Car la complexité des sociétés et l’inaptitude des autorités qui les dirigent s’associent, afin de ne pas emprunter les bonnes voies et respecter leurs cheminements. L’arrivée de la science des données améliore la maîtrise des affaires d’un pays. C’est donc scientifiquement possible, autrement c’est encore du faux-fuyant…

La révolution de la « data-science » met fin à la valse-hésitation des peuples devant les gabegies que provoquent aussi bien leur propre néfaste comportement que l’exécrable gestion de leur vie et leurs diverses institutions et services communs. Un besoin de données se place maintenant comme outil de parfaire les choses. Au fur que les appareils sont nombreux, les données sont complexes et leur utilisation se complique.

Donc quand le pays est petit ou émergent les travaux sont moins pénibles, parce les besoins des populations et des appareils sont moindres. On s’intéresse donc de plus en plus aux indicateurs (données) pour fiabiliser la portée des projets et étudier convenablement ces derniers. D’après les analystes, les données générées en 2017 ont dépassé la quantité de toutes les données générées au cours des 5 000 dernières années.

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Voir en ligne : Nous avons publié plusieurs sujets sur l’étude des données et la data-science

     
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