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Sans complaisance, remballez vos données des communautés de socialisation virtuelle

Quels destins pour les datas ? A vendre, à pirater, à échanger et à protéger ?

mardi 12 juin 2018, par N.E. Tatem

Entre autoriser et interdire que les données spontanément natives de l’utilisation des services d’Internet et jugées personnelles, les cœurs vacillent. La façon avec laquelle les individus partagent l’information interpelle. Une fois votre profil et vos contenus permettent de vous tracer et de vous suivre, faut-il avoir peur que vous serez victime d’attaques du genre "lavage de cerveau" ? Les gens réfléchissent plus à la manière d’être présent sur les réseaux sociaux du Web pour se protéger.

Les données qu’on enregistre de son plein gré, auprès de certaines plateformes du Web, puis on exige qu’elles demeurent personnelles et privées sont parmi la matière numérique frappée de péremption. Puisqu’on les efface, en les retirant ou en modifiant le rapport qui les lie à l’usager. Ou bien on les rend obsolètes en orientant son identité virtuelle sur davantage de restrictions, pour qu’elle soit moins encline d’être à portée du premier prédateur qui souhaite s’adonner au spam ou pour ne pas l’exposer marketing qui se dit intelligent.

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On va avec une vélocité négligente ou simplement nonchalante, lorsqu’on qualifie les récentes violations de données, subies par les abonnés des médias sociaux tel que Facebook, de cybercriminalité. Si on examine comment s’est effectuée cette collecte d’indications, on se réfère à la façon dont les personnes sont exposées à ce détournement. Quand elles ont d’emblée accepté d’être membres d’une communauté et d’échanger avec ses membres, en montrant un profil ayant la convivialité de prime abord, elles acceptent les condition de cette communication.

Comme les sciences, les styles et les innovations venant encore à naître, sont imprévisibles et la découverte qu’il y a d’autres interactions et relations enlève la confiance. Les réactions suscitées divergent à propos de l’inconnu. La « Data-science » (ou science des données) qui a 3 phases essentielles dans ses cursus consiste justement en premier lieu de disposer des indications à traiter, de les organiser selon l’objectif et enfin d’exprimer le sens de l’utilisation de destination.

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La plupart des Technologies de l’Information "TI" d’aujourd’hui sont animées par la convergence de trois tendances : la montée du big-data, la prédominance des grandes plateformes informatique (du cloud, les datacenters ou les data appliances) et l’absence d’architecture au cœur des processeurs. Le résultat est une cacophonie fascinante de produits et d’idées autour de l’accélération matérielle et de nouvelles équipements utiles aux systèmes et aux langages nécessaires pour faire face à la complexité. Des développements récents utilisent des FPGA (Field-Programmable Gate Arrays) dans les centres de données, sans prédispositions internes aux outils comme les processeurs.

Maintenant que nombreux critiques croient prendre possession d’éléments ayant trait aux personnalités et facettes de l’identité des gens est une affaire de cybercriminalité, il faut revenir à la responsabilité de ne pas se laisser prendre aux échanges via le Net et ne pas coopérer à ce qu’on fasse usage de vos préférences et orientations. Maintenant que des supers entreprises sont soupçonnées de cybercriminalité, il est donc bien moment de vulgariser la pointe de l’exploitation des statistiques et autres repères.

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Les procédures de surveillance qui consistaient, par le passé, à filer puis à mettre sur écoute les suspects et les ennemis. Elle se sont transformées en « hacking » sur Internet, quand les yeux et les oreilles devienne un écran. Les histoires de la NSA rapportées par Edward Snowden (lire nos articles) expliquent que les données sont justes à portée de celui qui les désire et qui se donne la peine de les rassembler, de les ranger et d’en faire un moyen d’anticipation, de communication et de prospection.

L’Europe n’est pas indifférente à l’exploitation des données fournies aux géants du Web, elle a opté pour l’introduction du règlement général européen sur la protection des données (GDPR) en mai 2018. La réglementation continentale met en place des règles plus strictes en matière de traitement et de stockage des données à caractère personnel. Initialement, Facebook a indiqué que la majorité de ses utilisateurs ne seraient pas protégés par GDPR, mais Mark Zuckerberg a rapidement annoncé que Facebook souhaitait que les mêmes contrôles soient disponibles partout, pas seulement en Europe.

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