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Arme au Bataclan venait de Phoenix "USA" a transité par le Maroc.

Destiné aux terroristes d’Algérie, un pistolet automatique utilisé vendredi-13 novembre 2015 à Paris.

vendredi 1er juillet 2016, par Djamel Damien Boucheref

L’une des armes utilisées dans l’attentat du Bataclan du 13 Novembre 2015 à Paris, venait de Phoenix, en Arizona, selon des révélations sorties par la presse américaine. Cette arme dont la traçabilité a été dressée par des agents fédéraux qui ont reproduit le parcours à partir même de son propriétaire, suscite moult questionnements. Il s’agit d’un pistolet automatique non enregistré. Il a été repéré le 16 Octobre 2010, dans une opération appelée "Fast and Furious", il a transité par le royaume du Maroc et était, originellement, en route pour des terroristes en Algérie.

L’affaire qui vient d’éclater aux Etats-Unis a été dressée par le suivi d’enquête sur l’attaque de Paris. Elle a été composée par le suivi d’une piste documentée par des papiers, notamment l’utilisation d’un formulaire d’investigation numéroté 4473. Un rapport d’enquête (ROI) déposé par un agent fédéral dans le Bureau des trafics d’alcool, des armes à feu du tabac et des explosifs (ATF) a traqué une arme utilisée dans les attentats de Paris, avec un intéressement spécifique.

Ce document a établi la propriété de cette arme à feu. Elle appartient avec d’autres objets, qui ont permis de remonter l’origine cette arme, en utilisant le numéro de série. Les réactions françaises et algériennes n’ont pas encore été faites, mais aux USA les enquêteurs sont formels, malgré le silence des officiels de la Maison Blanche.


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L’administration américaine n’a pas engagé des investigations approfondies, mais la presse s’est déjà emparé de l’affaire en tentant de repérer le propriétaire basé à Phoenix. C’est un vendeur d’armes connu des autorités et n’a pas été retrouvé par les journalistes d’investigation et même les enquêteurs. Il est soupçonné d’avoir au moins fourni deux armes à feu, pour les attentats de Paris, en violation des règles fédérales sur la vente illégale d’armes qui ne sont pas enregistrées. Aussi, il n’a pas été dérangé.

Mais encore davantage, aucune application ou une action de poursuite judiciaire n’a été engagée contre l’individu. Du fait de l’implication directe des autorités américaines qui se sont engagées à aider les terroristes agissant dans l’ensemble du Moyen-Orient et en Afrique du nord, c’est le black-out. Les dirigeants américains gardent l’information secrète et veillent à ce que l’identité ne soit pas connue pour qu’il garde le silence, selon des sources policières travaillant sur cette affaire.

Des agents ont été informés de ce processus d’enquête, ils ont pris des mesures pour que le fournisseur de cette arme ne parle pas en public, malgré l’émission d’un rapport officiel. Un ancien responsable de l’application de la loi sur les trafics d’armes a dit que les recherches judiciaires sont enclenchées, mais sans les rendre publiques.

Le programme "Fast and Furious" qui vient d’être révélé consiste à aider tous groupes terroristes qui agirait dans le monde, après 2011, année du déclenchement de révoltes populaires en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Le vendeur de cette arme, utilisée dans l’attentat du vendredi-13 au Bataclan, est considéré comme premier fournisseur de ce programme, qui, d’après les éléments connus à ce jour, relève des cercles démocrates de la Maison-Blanche.


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Corey Ray, porte-parole de l’ATF (organisme d’application de la loi fédérale au sein du ministère américain de la Justice), au siège de Washington a déclaré qu’ « aucune arme à feu utilisée dans les attentats de Paris n’a été tracée. » par ses services. Interrogé sur le rapport de ROI liant l’arme utilisée à Paris pour son existence à Phoenix, ce responsable a dit : « Je ne suis pas familier avec le rapport (ROI) auquel vous faites référence. »

Les enquêteurs Judiciaires ont également essayé de contacter le bureau de l’ATF à Phoenix, mais plusieurs de leurs appels sont restés sans réponses. Cet organisme suivait les armes pour les trafics de drogues venant du Mexique. Il est tombé sur le projet d’attentat de Nadir Soofi qui visait des caricaturistes à Garland, au Texas l’ année dernière. Ce terroriste est entré dans un magasin de la banlieue de Phoenix et a simplement acheter un pistolet de 9 millimètres.

Le gouvernement américain et ses enquêteurs perdaient souvent les traces de la plupart des armes provenant de Phoenix. Beaucoup ont été utilisées pour tuer des centaines de personnes innocentes dans le Monde. Ainsi que les agents américains qui enquêtaient sur les actions criminels Border Patrol, Brian Terry, ont été tués en Arizona avec les armes de la même filière.

Nous sommes prêts à fournir les sources de cet articles, si elles nous sont demandées. Mais, la protection des sources est un droit. Voici dans la vidéo suivante, une source des plus crédibles.

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Voir en ligne : Notre dossier : FRANCE

     
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