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Drogue saoudienne & argent des musulmans : quelle destination pour la cargaison ?

Pris la main dans le sac au Liban, le prince doit deux explications : de qui et vers où ?

mercredi 28 octobre 2015, par Rebel Kazimir

Seuls les médias arabes et russes ont rapporté la saisie de drogue au Liban où est impliqué un membre de la famille royale régnante en Arabie Saoudite. Cette dernière se compose, selon diverses expertises, dont celle l’encyclopédie Wikipedia, de quelques 15 000 personnes portant le nom des Ibn-Saoud. Un black-out médiatique a tenu 3 jours en Europe et aux Etats-Unis, autour de cette affaire, puis il s’est effrité. 5 personnes sont entre les mains des autorités libanaises qui vivent la plus grande prise de drogue dans leur pays.

Les musulmans ont-ils finalement de loyaux gardiens de la tombe du prophète ? L’Arabie Saoudite a abrité les premiers camps d’entraînement des djihadistes, pour l’Afghanistan pendant les années 80, avant que le Soudan et Peshawar au Pakistan ne prennent les relais. Les instructeurs étaient directement des missionnaires de la CIA.

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Puis, cette monarchie s’est trouvée seule à suivre les bataillons de criminels sous les ordres d’un certain Benladen. Les musulmans subissent un terrorisme inspiré des cruautés du Wahhabisme. L’argent de la drogue saisie sur un prince de la famille royale, alors que cette dernière campe une rente du pèlerinage, a une provenance quelconque.

Aussi les deux tonnes du produit saisi : le « Captagon », à l’origine un produit pharmaceutique synthétisé par la société Degussa AG en 1961. Il a été utilisé pendant 25 ans comme une alternative, plus douce, à la famille des amphétamines. Puis il a

Un média libanais qui détaille l’affaire

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Posté par Abu Ali Hussein Dirani sur lundi 26 octobre 2015

Il est vendu sous trois nom : Captagon, Biocapton, et Fitton, et fabriqué en molécule classée parmi les psychotropes : la « Fenethylline » qui associe une amphétamine et la théophylline, avec 24,5% de la dose orale pour la première et 13,7% de la seconde.

Le prince saoudien arrêté le 26 octobre au Liban, dans la plus grosse saisie de drogue jamais effectuée à l’aéroport de Beyrouth, est : Abdel Mohsen Ibn Walid Ibn Abdelaziz. Il est le fils d’un ancien ministre de l’intérieur, un frère du roi Fahd et ascendant direct du trône, classé 13è dans l’accès à la royauté.

La cargaison, rangée dans quarante caisses, devait être acheminée vers l’Arabie saoudite, précisément à l’émirat de Haël, à bord d’un avion privé. Elle a été appréhendée sur un simple contrôle. Alors que les porteurs, de 20 cartons et 5 valises ornés d’affiches officielles du palais, avaient refusé de fouiller leurs bagages.

Les comprimés du Captagon sont très consommés au Proche-Orient et ce malgré les interdictions et son absence sur les listes des médicaments importés en Arabie Saoudite notamment. Cependant à plusieurs reprises il a découvert sur les terroristes présents aussi bien Syrie qu’en Irak, particulièrement les chefs des groupes de criminels.

La destination de cette cargaison reste inconnue. Un protagoniste saoudien impliqué dans cette affaire a réussi à prendre la fuite du Liban, selon plusieurs médias du pays. La justice et la police ainsi que le ministre de l’intérieur libanais sont devant des tas de questions, sur une affaire qui risque d’être étouffée. Voire même de se reproduire à l’aéroport Rafik Hariri.

Le père du trafiquant : frère du défunt roi Fahd.

Les Etats-Unis face au jeu de l’Arabie Saoudite et la Turquie en Syrie

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Voir en ligne : Notre dossier : Arabie Saoudite

     
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