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Trois petits tableaux de la Tunisie actuelle

Prisonniers, Troïka et tunisiennes à l’étranger

mardi 10 septembre 2013

Querelles et troubles interminables dans les prisons, puis des fois des évasions.

Ramassis d’apprentis politiciens, cette troïka est jalouse de ses prérogatives.

Elles étaient démunies du nécessaire pour pouvoir vivre, et cet état de choses, les ont obligées à leur corps défendant à monnayer leurs charmes.

68 personnes dans une cellule

Mais quelle gabegie,mon Dieu ? 68 captifs dans une seule cellule ! Mais c’est leur montrer le chemin à la rébellion et à l’échafaudage des projets d’évasion. 68 mes dans une cellule, c’est leur donner le feu vert à la chamaillerie, aux querelles et aux troubles interminables.

C’est créer au sein même de cette cellule un environnement invivable et instable. C’est exhorter ces pauvres déchets humains à la turpitude et pire encore à la contamination psychologique, alors que le lieu de la contagion immorale ou amorale. Il y a une crise pénitentiaire en Tunisie, une crise terrible créée de toutes pièces par le pouvoir politique. Et le pays ne tardera pas à basculer dans le vide !

Quand la Troïka joue le jeu du chat et de la souris.

La Troïka régnante à Tunis, c’est un ramassis d’apprentis politiciens… Cette troïka est jalouse de ses prérogatives. Elle pense conserver intacts ses propres intérêts matériels, au préjudice de l’intérêt de la nation. La Troïka est un phénomène égotiste, terriblement égoïste. Comme tout dirigeant arabe qui chercherait à prévaloir sa puissance, sa domination sur toutes considérations d’intérêt national. Car la Troïka, se persuadant qu’elle tirait son pouvoir de la légitimité électorale, continue à s’entêter dans le maintien de ses positions extravagantes et ineptes… Elle s’obstine à ne pas vouloir accepter son échec,plutôt sa défaite politique.

Dès lors il n’y a plus désormais qu’un seul argument pour raisonner la Troïka, c’est la désobéissance radicale à l’exécution de tout ce qu’elle décide, c’est d’entraver ses services sous la coupole, c’est de suspendre définitivement tout dialogue avec elle pour l’obliger enfin à obéir à la volonté populaire et à remettre le pouvoir entre des mains sûres…

Quand la femme voyage seule.

Il y a quelques années, lors de mes longs séjours dans des pays étrangers ou même les pays arabes, j’ai rencontré de jeunes tunisiennes. La plupart étaient dans un état de débauche évident. La dépravation apparaissait dans leurs physionomies, dans leurs paroles et même dans leurs gestes. Elles étaient démunies du nécessaire pour pouvoir vivre et cet état de choses, les ont obligées à leur corps défendant à monnayer leurs charmes.

A l’époque, en présence de ces misères, j’ai éprouvé un malaise dont je ressens encore les échos dans les fibres de mon être. Alors dans l’intérêt de qui l’Etat avait pris cette mesure ? De gr ce,taisons-nous et soyons sages !

Dr Mohamed Sellam

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