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Algérie : des appels aux meurtres pour Morsi.

Souillé par la politique, un Islam du crime s’affiche en public !

jeudi 29 août 2013, par Azouz Benhocine

Les cercles réactionnaires algériens survivent tenacement, en brandissant les traditions qui dévoient les coutumes ancestrales, jusqu’à mettre leur pays dans l’insécurité. Ainsi des pratiques étrangères noyautent le patrimoine commun, intervenant pour abolir les us populaires qui alimentent la communion, la cohésion, les commémorations festives et les apports qui valorisent le terroir local.

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Et c’est par la criminalité dont souffre toute l’humanité, adultérine entre politique et religion musulmane, que les forces rétrogrades d’Algérie agissent pour l’inertie sur leurs visions déclassées. Visant principalement d’autres algériens, avec l’islamisme elles continuent encore, après un quart de siècle de malheurs, de se servir de facultés semant les haines et les forfaitures.

Lors de la période de la révolte #Tamarod en Egypte, l’Algérie a retrouvé ses débats viciés. Où l’islamiste, embusqué derrière le terroriste, tente d’impressionner avec la fascisante charia islamique. Alors les menaces de crimes prennent le dessus sur l’expression apaisée. Les démocrates conséquents qualifiés d’« éradicateurs », avec les militaires, sont encore et toujours désignés à exterminer.

POUR MORSI et L’ISLAMO-TERRORISME DES FRERES

<img1126|left>Une pétition signée d’une vingtaine de noms, de pseudo-intellectuels et une large majorité d’approximatifs journalistes algériens soutenant le déchu Morsi, a été divulguée sur quelques sites Web à la qualité des plus médiocres. Il y a de quoi se poser la vraie question, pour le cas de l’Algérie qui traduise le mieux cette opinion subsistée de l’horreur des années noires : de quoi tu te mêles ?

Quand ces émanations dégagent une ignorance plus qu’imparfaite, que des gens anonymes prétendant à de tels statuts, elle s’adonne à circuler dans le labyrinthe de la traîtrise, et encore à inciter aux assassinats qui pourchassent des opinions contraires. Ces Algériens apparemment qui n’ont pas idée de la géographie de leur pays, où ils ont grandi, étudié et exercent leurs professions, et qui osent une telle abjection, c’est l’entretien même des violences qui marquent à jamais la mémoire fraîche de ce pays maghrébin, ainsi l’horrible qui instruit le Monde.

Cette tentative de sauvetage des « Frères Musulmans » égyptiens, a l’islamo-terrorisme à défendre face à la marche inexorable de l’Histoire. Cette reprise des actes envisage de perpétuer l’insécurité que l’armée essaie quotidiennement de juguler. Ces mêmes signataires s’absentent dans des commémorations des martyrs, des dizaines de milliers de victimes du terrorisme, comme la mémoire de Mohamed Boudiaf, ou bien les nombreux journalistes, ainsi que les femmes massacrées sur l’autel de l’islam de l’AQMI.

LES JOURNALISTES ET INTELLECTUELS ALGERIENS CIBLES

<img1125|right> Et quand on se demande, comment l’Algérie s’est faite la plus sombre image d’un pays ayant connu la plus horrible hécatombe des années 90 et 2000, unique dans son genre sur Terre, avec prédilection d’une liquidation en règle du fleuron des sciences et de l’intelligence ? S’établissent alors les raisons qui ont causé ces morts, si trop gravement facilitées par une foultitude d’auxiliaires à la solde de l’hydre maléfique.

Les mêmes initiateurs de la liste des soutiens à Morsi, ont fait par ailleurs circuler un index où figurent d’autres noms. Et cette fois des intellectuels et journalistes algériens ayant soi-disant appelés à destituer le représentant des « Frères Musulmans » qui a gouverné avec (par et pour) le pourrissement l’Egypte. Mais ces noms à abattre, sont de grandes signatures des médias nationaux, ainsi qu’internationaux. Ils sont associés à ceux d’écrivains de renom dont les œuvres sont traduites à d’autres langues et sont reconnues dans la littérature internationale.

C’est aussi les meilleurs des algériens à qui on désire la liquidation. Que d’autres algériens, pour cause politique perdue dans les poubelles de l’Histoire, souhaitent pour le compte d’un Islam souillé par la politique.

(Liste des signataires au 20 Août 2013) POUR MORSI - La honte de l’ALGERIE


Pr Djamel LABIDI, Université d’Alger2 ; Pr Zoubir AROUS, Université d’Alger2 ;Pr Ahmed Redouane CHEREFDDINE, Université d’Alger2 ; Dr. Mohamed HENNAD, Ecole nationale supérieure des sciences politiques, Alger ; Hmida AYACHI, journaliste et écrivain ; Me Mustapha BOUCHACHI, avocat et parlementaire ; Dr Mustapha NOUICER, Université d’Alger 2 ; Dr Mohamed AREZKI, Historien ; Dr Khaled BENSMAINE, politologue ; Sohil ELKHALDI, journaliste et écrivain ;
Dr Fouad DJEMAI, Université d’Alger 2 ; Dr. Djilali ELMESTIRI, Chercheur au CRASC Oran ; Dr Mehdi Lotfi, Université de Strasbourg (France) ; Dr. Abderrezak MEKKAOUI, Ingénieur, Berkeley, USA ; Dr Fadila BOUAMRANE, Faculté de médecine d’Alger ; Pr Kamel TAIBI, USTHB Algérie ; Abdelaziz HARITI, directeur du Centre "Amel el OUMMA" d’études et de recherches ; Abdelmoumene KHELIL, membre de la Ligue algérienne des droits de l’Homme (LADDH) ; Mohamed Tahar BENSAADA, enseignant et chercheur, Bruxelles. Hamid Ahmed BENYAGHZAR, Maitre Assistant, Université d’Alger2 ;Farouk Abou Seradj ADHAHAB écrivain et enseignant à l’Université d’Alger, Dr Abdelhaq MAHI, université de Constantine ; Dr Mohamed El Arbi FELLAH, écrivain et universitaire , Université de Bechar ; Dr Abdallah LATRECHE, Université de Tlemcen ; Dr Tahar BELKHEIR, Université d’Oran ; Dr El Arbi ALLALI, Université d’Oran ; Dr Ayoub SELMI, Université d’Alger ; Dr Abdallah HAWADEF, Université de Msila ; Dr Ahmed SENNANI, Université de Biskra ; Dr Youssef ZAAF, Centre universitaire de Relizane ; Dr Abdelkader BERRICHE, Ecole supérieure de commerce, Université d’Alger ; Dr Abdeladhim BENSAGHIR, Université de Biskra ; Dr Djemila MOHAMEDI, Université d’Alger ; Pr Kamel GERGOUR Université d’Oum El Bouaghi ; Dr Dahmen ACHOUR, Université de Msila ; Dr Ahmed GHRABI, Université de Msila ; Dr Said MELLAH, Université de Msila ; Dr Abdessadok ABDELAZIZ Centre universitaire de Relizane ; Dr El Arbi BENSMAINE, Université de Bechar ; Dr Bouabdallah BENSLIMANE, Université de Bechar ; Redouane BENATALLAH, homme politique ; Dr Belkacem ZAKDOUD, Université d’Oum Bouaghi ; Dr Yassine LOQMAN, Université d’Oum Bouaghi ; Dr Salah Djadid, Université d’EL TARF ; Dr Ramdhane ABED, Université El Tarf ; Dr Hussein TOUMI, Sociologue, Université d’Alger 2 ; Dr Ahmed BEKKA, Département de Chimie, Université d’Oran ; Dr Kasmi BAKHTAOUI, Université de Chlef ; Dr Hussein BOUMEDIENE, Université de Tlemcen ; Dr Khelifi ECHEIKH, Université de Tlemcen ; Dr Mohamed LATI, Université de Tlemcen ; Dr Miloud BOURDECH, Université d’Oran ; Pr Omar BOUFELDJA, Chercheur en psychologie, Université de Tlemcen ; Dr El Habib AZZAZ, Université de Mascara ; Dr Cherfi MOULAY IDRISS, Université de Mascara ; Dr BELARBI IBN OMAR, Université de Mascara ; Dr Aicha DEBIB, Université de Blida ; Elhafnaoui BENAMAR GHOUL, journaliste ; Mohamed Farouk BENBEDRA, ingénieur d’Etat ; Salim CHETOUH, écrivain ; Dahman BAGHDALI, Ingénieur d’Etat, Bouira ; Ahmed GHAMIT ; journaliste ; Abdelhamid OTHMANI, journaliste ; Mohamed BELALIA, journaliste ; Amine ZEROUATI, journaliste ; Walid El AQUEL ; journaliste ; Mohamed BOUAZOUZ, enseignant à l’université de Khemis Miliana ; Dr Nacer KASMI, Université de Blida ; Mohamed GHAZI, professeur à l’Ecole normale supérieure, Bouzareah, Alger ; Fares BOUHADJILA, écrivain et enseignant ; Abderachid HADJEB, conteur et romancier, Oran ; Riadh BOUHADJILA, poète ; Youssef DJIRAH, historien ; Aissa BRAHIMI, avocat et ex vice-président de l’Assemblée nationale populaire ; Mahmoud BENSAID, enseignant à l’Université de Laghouat ; Abdelaziz BOUCHKHOU, ingénieur d’Etat ; Naserdine BOUHAMIDA , enseignant à l’Université de Khemis Miliana ; Sadek REBAI, enseignant du secondaire, Alger ; Dr Hmidate RARBOU, Chirurgien dentiste ; Dr Wahib BOUSSAADIYA, Université de Msila ; Dr Abdenour MANSOURI, Université de Msila ; Zohra MILIANI, professeur dans le secondaire, Alger ; Rachid BOUSBAA, professeur de l’enseignement moyen, Alger ; Dr Kacimi BOUDRAA, département informatique, Université de Msila ; Zineddine TOBAL, ingénieur. Ahcene Cherif ABDELALI, ex députe. Naima SALHI, présidente de l’Union nationale des "cadres pour l’Algérie", Abdelkader BERRICHE, professeur à l’Ecole normale supérieure ; Abderrahmane TOUMI, Professeur à l’Université de Boumerdés, Ahmed CHERIT, professeur à l’Université de Blida. Youssef GIRARD, historien ; Yahia MEKHIOUBA, journaliste présentateur sur ALASR TV ; Khaled LAROUSSI MEFTAH, ingénieur. Tawfik TOUDERT, administrateur ; Pr Brahim BOUDERAH, département d’informatique, Université de Msila. Brahim HADDAD, chercheur en unité de développement des équipements solaires. Ahmed MESSAOUDI, inspecteur primaire, Wilaya de Djelfa. Lamria AZZEDINE, maître-assistante, Université d’Alger. Pr Ali BOUAFIA, professeur d’enseignement supérieur Faculté de Technologie, Université Sa d Dahleb de Blida. Abderezak BOUSSALEM, Ingénieur, Constantine. Fawzi HAKIKI, Bibliothécaire, Montpellier, France. Dr Toufik DIDI Pneumologue, Centre Hospitalier d’Annecy. Dr Badia BENJELLOUN médecin Paris. Abdelkader BENBRIK, journaliste Alger. Dr Mohammed DJABALLAH ophtalmologiste. Ali MEBROUKINE, avocat, professeur à l’Ecole Supérieure algérienne des affaires. Ferhat MAGHLAOUI, ingénieur agronome. Dr. Youcef MAHDI, Université de Médéa. Zine CHERFAOUI, journaliste. Badia HAMZA-CHERIF GAOUAR, avocate. Soufiane GASSIS, enseignant à l’Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics (Alger).Bouzid KHIREDINE, Professeur de Physique. Seifddine TABCHOUCHE, doctorant en génie civil à l’université de Biskra. Gamal ABINA, président de l’ ??Association AMAL Association pour la Mémoire algérienne. Dr Mohammed DJERRAR médecin spécialiste Bordj Menaiel. Abderrahmane BOUZID Expert consultant , LYON France. Mustapha AKACEM, maitre-assistant, Université d’Adrar. Pr Chems Eddine CHITOUR, Ecole polytechnique, Alger. Azzedine DJABALLAH, ingénieur . HADDAD BRAHIM attaché de recherche, Bou Ismail. Dr Mohammed DJABALLAH, médecin ophtalmologiste, El Oued. Bousaid BENAOUDA, ingénieur d’Etat , Relizane. Mohamed TINE, président de l’Association culturelle "El Djahidhia" et enseignant à l’Université.
Bachir MEDJDEL, chef d’un service de santé de proximité, Boussaada (Wilaya de Msila).
Dr Hocine ZOUBIRI, sociologue, Université Ziane Achour, Djelfa. Gaye El hadji Malick Sy, professeur de français , centre régional de formation de Louga. Abdeldjalil CHACHOUA,.doctorant, Université de Tlemcen. DR Omar RAHAL, médecin, BLIDA. Abderrahmane MESSAHEL, enseignant au Centre universitaire d’El Bayadh. Dr Abdelkader KORICHE, médecin, Tiaret. Hamida NACIB, diplômée en sciences politiques et relations internationales, Alger. Dr Othmane SAADI, écrivain, président de l’Association de défense de la langue arabe. Dr Samir DJIDEL, psychiatre psychothérapeute, clinique "Les Orchidées" ,Andilly, France. Mohamed Amine MENOUR, enseignant à l’Université de Tlemcen. Hocine BEGUENDOUZ, enseignant à l’Université d’Oran. Saïd MOHDEB, doctorant, université Paris 8. Dr Khaled KARA MOSTEFA, médecin généraliste, Constantine. Abdelkader HARICHANE, journaliste- écrivain, journal El Khabar. Fares BOUZENIA, enseignant universitaire et avocat. Belkacem SAADI, journaliste, Londres. Tahar BORKANE, journaliste. AFETTOUCHE ingénieur. Samira LAHMAR, Maitre- assistante , Université d’Alger 2. Bélaid HAMIMI, Administrateur dans la presse écrite, Alger. Djamel ALLAL, enseignant à l’Université Mohamed Boudiaf, Msila .

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Voir en ligne : Notre dossier : L’Egypte dans le Printemps Arabe.

     
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