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Tunisie : Quand un pays danse sur quatre cordes raides.

Les usurpateurs de l’Islam face à l’Histoire

mardi 30 juillet 2013

L’intransigeance de l’islam : Etre astreint à faire cinq prières par jours du matin au soir, être à jeun pendant tout un mois en subissant les affres de la canicule et la soif mortelle €¦

Puis, faire le pèlerinage en tournant continuellement autour de la Mecque tout en murmurant d’un ton inaudible le nom de dieu et de son prophète.
Vivre rien que pour ça, pour subir en silence cette discipline infernale incongrue et malsaine, ce calvaire implacable, sans pouvoir protester ou même se plaindre…

Vivre rien que pour cette culture, culture du martyre, du tourment insidieux sans disposer du temps pour meubler son esprit de ce qui est essentiel à la vie, de ce qui fait la valeur de l’existence ici-bas. Voila en bref le destin du musulman en ce monde. Fanatisme à outrance, aveuglement, étroitesse d’esprit et obscurantisme sans limites....

Alors aurait-on le pouvoir persuasif, la force de conviction, pour le faire sortir de ce gouffre obscur où il s’enlisait depuis des siécles. Et lui montrer dans toutes leurs splendeurs les lumières de la raison et de l’esprit ?

Pour une mise en quarantaine des spadassins « jihadistes ».

Les prétendus jihadistes tunisiens, de retour au pays, doivent être traduits en justice en tant que criminels, ayant probablement tué des personnes innocentes en dehors des frontières... Ces types de criminels représentent en effet un énorme danger pour la société et pour la nation entière...

En conséquence, il est urgent de les parquer dans un camp de concentration dans l’attente de leur imminent jugement. D’autre part, les laisser libres dans la société, ce serait commettre un autre crime pire que ceux qu’ils avaient commis en pays étranger...

Marzouki, ami intime des criminels et des hors-la-loi, ne serait probablement pas là pour les entourer de sa sollicitude et de sa sympathie... La justice doit se prévaloir et transcender sur toutes les considérations même humanitaires...

Si on l chait ces ruffians au sein de la société, l’épidémie du mal - s’accentuant davantage se propagerait et frapperait durement les cellules sociétales ainsi que les institutions étatiques. Donc, il est salutaire sinon impératif de les mettre aux arrêts dès leur retour, pour un jugement équitable-et surtout en vue de les éloigner de la société qu’ils peuvent facilement contaminer par leur présence nocive...

Quand le fessier nahdaoui fera long feu…

Les nahdaouis- fétichistes et vains- follement grisés par les prétendues compensations font la fête et vont l cher la bride à leur enthousiasme fébrile et à leur jubilation exacerbée…
 le pognon des miséreux et des affamés s’engouffre désormais à gogo dans leurs poches. N’ouvrons pas les vannes à leurs plaisirs échevelés et ne les laissons pas vivre à leur fantaisie avec l’argent du peuple. Chaque centime nous coûterait une larme jaillissant de nos cœurs meurtris et blasés !

Quand Ansar-charia se rebelle, se rebiffe et s’insurge contre leurs partenaires nahdaouis..

Ansar-Charia voulait arracher de force le pouvoir des mains de leurs amis les nahdaouis ils sont jaloux de voir cette secte fétide se mettre au pinacle du pouvoir. Alors ces « Ansars » une bonne aubaine les attendait aux horizons. Et pour y parvenir, ils s’engagèrent dans la bataille, une folie échevelée !

Ce que vous dites-là, mon ami, ce n’est rien d’autre que des boniments, du baratin de quelqu’un qui semblait avoir perdu la boussole...
Certes, le régime islamiste n’est pas fait pour la Tunisie, mais il fallait morigéner les votants, c’est-à-dire en d’autres termes, ceux qui lui ont offert leurs voix qui constituaient la majorité d’après les lois électorales en vigueur, ce qui fait que la minorité doit en principe obéir impérativement au pouvoir de la majorité...

L’esprit de la démocratie vous imposera le devoir d’être sage, pondéré, et d’accepter sans rechigner ce que la majorité avait décidé consciencieusement... Même si le résultat était l’oeuvre de la manipulation et de la supercherie. Ce qu’il faut dés lors, c’est de prendre des initiatives pour que cette erreur ne se reproduise pas et qu’au cours des prochaines élections,la majorité revienne de facto aux progressistes laïcs et aux modernistes éclairés... Pour le reste ce n’est que du papotage, stérile et vain.

L’échec à plate couture d’une révolution !

Siliana, Sidi Bouzid et maintenant Bizerte, les images qui nous sont parvenues de ces villes, des images éloquentes, réelles et véridiques, sont tout à fait les mêmes que nous avions vues lors des secousses de la révolution… Des manifestants vandales, une bande de galopins, courant de tous les côtés, dévalisant saccageant, échoppes, magasins… Brisant, fracturant sans retenue portes et fenêtres. Jetant à tour de bras des cailloux, de grosses pierres et de l’autre coté de la scène, un contingent de policiers, armés de gourdins et d’armes à feux, bardés de boucliers, affrontant avec détermination cette bande de voyous en furie qui s’acharnaient sur les biens publics et privés sans reculer d’une semelle.

Et là, face à ce spectacle de désolation, un spectacle cruel, horrible, l’on se remémore déjà de triste mémoire, les moments pénibles qui ont vu engendrer ce phénomène appelé révolution. C’est un retour à cette période infernale. C’est une nouvelle forme de révolution. Donc ce spectacle dans son ampleur, triste résonance qui s’incruste dans notre cœur encore endolori, à peine sorti d’un long cauchemar, met un trait noir sur cette révolution qui n’a jamais eu lieu que dans les esprits mystificateurs et maléfiques…

Une révolution qui n’a drainé avec elle que malheurs, misères et deuils. Une révolution qui nous a submergés de problèmes de toutes sortes et qui a mis le pays dans un cul-de sac en mettant à sa tête des gens incompétents, imposteurs, mystificateurs, égoïstes et charlatans
Donc notre révolution c’est, une Révolution qui n’en est pas une, parce qu’elle était de portée spécieuse, parce qu’elle a donné naissance à des avortons à l’esprit rachitique qui ont annihilé tout espoir de vie ...

Dr Mohamed Sellam

msellam83@yahoo.com

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