Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > Politique, France, francophonie, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique, monde (...) > DOUTE SUR LES ACTES ANTISEMITES DU 19ème ARRONDISSEMENT PARISIEN.

DOUTE SUR LES ACTES ANTISEMITES DU 19ème ARRONDISSEMENT PARISIEN.

L’antisémitisme existe, mais delà à le voir à tous les coins... c’est nuire à la convivialité aux quartiers et villes de France.

mardi 16 septembre 2008, par Gros Emile

Beaucoup de juifs refusent qu’on fasse en leur nom de telles ignominies, de peindre en antisémitisme toutes les escarmouches entre jeunes. Les exemples d’affabulations n’y manquent pas, à trouver fond de commerce dans la prise en compte d’antisémitisme toutes violences impliquant un juif. Comme s’il n’appartient pas, ce citoyen de confession juive, à un environnement et est à l’abri €¦

Aux non-voyants cet article est vocalisé, écouter la version phonétqiue en MP3
Particularité française comme nulle part ailleurs, est l’insoutenable indécence quand, les officiels et certaines grosses pointures des partis et personnalités de l’opposition s’empressent de qualifier d’acte antisémite toute expression ou rixes à laquelle prend part, ou est sujet, un ressortissant de la communauté juive. Cette maladroite frénésie nuit énormément au judaïsme et à ses adeptes, particulièrement quand elle passe sur la place publique avant que ne soit évaluer, pas la moindre considération, des circonstances (temps et lieu) et du contexte de son déroulement.

Le 19ème arrondissement parisien, selon le quotidien Libération connaît depuis des décennies les rivalités entre bandes et sont devenues désormais communautaires. Le dernier en date, nouvelle dans la saga des violences dans cet arrondissement, l’agression avec une arme blanche d’un jeune maghrébin et d’un noir. Le fait s’est déroulé dans la soirée du lundi 14 septembre 2008 et illustre le climat, fort ancien, de ce quartier parisien. L’absence d’acte antisémite dans l’affaire, du 6 septembre, au XIXème arrondissement parisien, là justement où le jeune Rudy a été, le 21 juin, battu jusqu’à être dans un état comateux, connaît l’épilogue inattendue et surprenante.

Et Beaucoup de juifs refusent qu’on fasse en leur nom de telles ignominies, de peindre en antisémitisme toutes les escarmouches entre jeunes. Les exemples d’affabulations n’y manquent pas, à trouver fond de commerce dans la prise en compte d’antisémitisme toutes violences impliquant un juif. Comme s’il n’appartient pas, ce citoyen de confession juive, à un environnement et est à l’abri…

Parmi les 6 jeunes prévenus, un jeune juif y est, et voilà plus de 10 jours que le fait ait lieu et on en a pas tenu-compte et n’a pas été révélé laissant le pourrissement prendre de l’ampleur. Les médias se sont ouverts à des victimes qui, seront ce mercredi 17 septembre soumis à confrontation. Alors qu’elles, avec leurs parents et de nombreux membres de la communauté, ont exprimé dans presque tous les médias la probabilité de l’acte antijuif. Si ce n’est l’arrivée prochaine devant le tribunal, l’opinion française aurait été encore bernée !

Même en ce qui concerne Rudy, membre avéré d’une bande et du Betar (organisation considérée terroriste, sauf en France du fait de la puissance de lobbies qui lui sont protecteurs et interdite au USA et en Israël) ainsi que de la Ligue de défense juive, s’adonnait à des rivalités contre d’autres groupes. Il était sous contrôle judiciaire pour des actes de violence qui ont une gravité qui n’a jamais été mise au devant.

Si ce n’est la veille de la présentation, des protagonistes de l’affaire du 6 septembre, devant les magistrats enquêteurs, l’évolution de l’enquête et cette divulgation n’aurait jamais été connue. Et c’en est une de ces mauvaises actions qui mettent au doute le réel antisémitisme qui, aussi et surtout, obère…

C’est le prestigieux quotidien d’informations « Le Figaro » du 23 juin 2008 qui rapporte la régression des actes antisémites. Prenant en compte l’annonce du mois de février du service de protection de la communauté juive dont le bilan accuse baisse quantitative notable" des actes antisémites en 2007 en France, chiffrés à 261 actes (moins 30%) dont 73 cas de violences physiques, soit une diminution de près de 35%.

Le paquet de mensonges s’inscrivant dans cette « antisémitologie » abusive ne manque de faits. Ils agacent les personnes, de toutes les confessions et les appartenances ethniques, qui ne ménagent point moult efforts pour défendre la convivialité réelle des quartiers et villes de France.

• Alexandre Moïse, président de la Fédération sioniste de France, a porté plainte contre les nombreuses menaces qu’il s’envoyait lui-même avant d’être confondu et condamné.

• La police a démonté l’histoire de la jeune fille de Montpellier à laquelle on aurait dessiné une étoile juive sur le bras.

• Elie Chouraqui a manipulé un reportage télévisuel sur le soi-disant antisémitisme d’élèves d’origine maghrébine de Montreuil.

• L’incendie de l’école juive de Gagny a été présenté comme un acte antisémite alors qu’aucune preuve dans ce sens n’a été apportée, bien au contraire.

• En juin dernier nous avons eu droit à la fameuse affaire d’Epinay où un malade mental a poignardé plusieurs personnes de diverses origines (juive, haïtienne, algérienne et portugaise), ce qui n’a pas empêché les pouvoirs publics de ne s’intéresser qu’à la victime juive et à faire croire à un acte antisémite ?

Image hébergée par servimg.com

Le cas du Rabin Farhi, une personnalité et responsable du mouvement juif libéral de France, a été démenti le rapport de la brigade criminel a conclu après expertise que c’est une automutilation. L’affaire date de 2003 et la victime devenue accusée, a augmenté ses mensonges avec l’incendie de sa Renault Scénic et des lettres de menaces. Il a été jusqu’à incriminer un individu de son imagination criant « Allah Akbar » au moment où il le poignardait.

• En juillet 2004, une jeune fille mythomane s’est déclarée victime d’un acte antisémite du fait que son teint, comme un atout pour gagner un jeu de belotte, de brune le permettait. L’affaire s’est soi-disant dans le RER « D », entre les stations Louvre et Sarcelles… Une manifestation a été tenue quelques heures plus tard, métro Belleville avec à sa tête, la ministrable Nicole Guedj.

• L’incendie causé par un SDF, répondant au non de Raphaël Benmoha, de confession juive et d’origine marocaine, au centre d’action sociale Popincourt (XIe arrondissement, a été pendant une bonne dizaine de jours admis et présenté comme acte antisémite et même terroriste.

Ce qui est étonnant dans toutes ces affaires mensongères qui déshonorent la communauté juive de France, malgré l’affichage peu serein d’ailleurs des officiels la représentant, il existe des affaires fortes douteuses et présentent des caractéristiques à élucider.

Comment ne pas s’étonner de l’incendie de l’ambassade à 2 heures du matin en juin 2002, sans que le moindre gardien où les rondes policières, en plein plan Vigipirate instauré après les actes terroristes des islamistes, ne se sont pas rendu-comptes de cette destruction ? Inexplicable ?

Votez pour cet article : Doute sur les actes antisémites du 19ème arrondissement parisien.

Partager sur les réseaux :

Voir en ligne : UNE VICTIME DE VIOLENCE, loin du 19ème arrondissement parisien... Maltraitée par, LE SILENCE, des officiels et les médias français.

     
Pas de licence spécifique (droits par défaut)

Messages