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Algérie : le repenti tue l’employé du journal télévisé !

La gestion ambigüe d’un terrorisme doté de son projet

mardi 19 mars 2013, par Azouz Benhocine

L’illusion de domestiquer la bête immonde ou d’amadouer l’hydre hideuse de l’islamo-terrorisme a donné bien des leçons aux algériens. Pourtant nombreux d’entre eux demeurent exciter à coaliser et à partager les projets criminels d’une pseudo-idéologie qui n’a rien d’une création humaine. La divinité de l’islamisme n’est pas comme les autres idées générées par l’intelligence des peuples. Donc elle n’empêche pas les militants de passer à l’acte, et ce par la sacralité chère au fanatisme...

A la mémoire de toutes les victimes de l’islamo-terrorisme en Algérie, nous proposons à nos lecteurs :

 1- Faire du 22 mars une journée nationale des victimes du terrorisme islamiste en Algérie

 2- Algérie-Ajouad : des flashbacks pour la traçabilité mémorielle.

Quand la repentance débouche sur la récidive, le traitement de la question de l’insécurité politico-religieuse qui a toujours porté sur le projet de société, reste posée en Algérie : que fait-on de bon ? Comment gère-t-on les sources d’un mal et qui mettre en cause dès lors qu’il persiste ?

Or aussi bien les autorités que leurs opposants réfutent un tel débat, celui du projet de société. L’origine du terrorisme n’est donc pas l’absence de programme qui fasse demain ?

Laissant les citoyens qui les élisent et attendent de leurs autorités la gestion de la chose publique pour satisfaire les exigences de « bonne gouvernance », les acteurs politiques algériens restent indéterminés quant au destin qu’ils réservent aux administrés. Qui eux patientent que la paix et la croissance instaurent le bien-vivre !

L’agression, le vendredi 15 mars 2013, de Goulmamine Tarek un technicien-monteur de l’ENTV (l’entreprise publique de télévision) par un repenti de l’islamo-terrorisme qui lui a asséné des coups mortels avec une arme blanche, retient l’attention en matière de violence politique… Tout un programme que se partagent aussi bien certains « cheikhs » prêchant l’application de la charia que l’AQMI, l’algérienne internationalement affiliée à Al Qaeda.

Dans ce pays qui a vécu, pendant deux décennies, la plus cruelle hécatombe de notre ère, on n’est pas encore à une thérapie radicale, afin de juguler puis faire cesser les crimes. On est encore loin, malgré les affres, des décisions, du genre à interner les éléments dangereux, potentiellement en mesure de tuer, comme dans le pénitencier de Guantanamo-bay. Ou de les abattre, puisqu’inéluctablement ils sont déjà armés et dans le « djihad », tel que l’a autorisé dernièrement une loi aux USA.

Et ce malgré que l’ANP « Armée Nationale Populaire » donne du crédit à sa lutte implacable contre les éléments versés, sans caprices, dans l’activité de la pire entreprise qui, elle, est déjà un projet sociétal macabre en marche… Elle vient de le démontrer, et pour le monde entier, à Tiguentourine !

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Communiqué du SNJ -Syndicat National des Journalistes : Algérie- à propos du décès du monteur du journal de l’ENTV, Goulmamine Tarek, suite à de graves blessures assénées à l’arme blanche par un terroriste-repenti.

Selon le Syndicat national des journalistes (SNJ), Tarek Goulmamine, exerçait au service du JT. Il a été assassiné à l’arme blanche par un terroriste repenti. Le syndicat précise dans son communiqué (voir copie) que la victime agressée, a succombé, le lendemain, à ses blessures qui étaient très graves. C’est suite à une altercation que l’ex islamo-terroriste a donné les coups mortels, dont le type d’arme blanche utilisé n’a pas été précisé…

La mort de cet employé des médias, interpelle sur la focalisation des crimes attribués à l’islamisme sur cette corporation liés à l’information et au journalisme. De même quand les explications et circonstances de la dispute entre lui et son tueur restent inconnues, la reproduction des errements permet aux terroristes de passer à l’acte et se font libérés, comme uniquement pour les commettre. Goulmamine était gé de 35 ans et père de 3 enfants, il a été enterré le mardi 18 mars…

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Voir notre liste, pour remémorer les talents algériens exterminés, des journalistes l chement assassinés pour le seul dessein d’un éclat médiatique pouvant détruire les esprits au sein de la société.

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Voir en ligne : Notre GRAND dossier l’Algérie et l’islamo-terrorisme

     
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