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Mali : la "kétamine" drogue du Mujao

Pour mourir en "djihadistes", on consomme comme des chevaux !

lundi 25 février 2013, par Rebel Kazimir

Si la doctrine "djihadiste" que recèle la pseudo-idéologie islamiste, a marqué l’humanité à travers l’Afghanistan et l’Algérie... Le Mali appartient désormais au lot des "pays-labos" où les "cheikhs-théocrates" et le label "Al-Qaeda" tentent d’imposer la barbarie ! Et toutes les panoplies des pratiques, de "l’islamo-terrorisme" afghan, s’y retrouvent malgré le changement d’époque et de continent.

Qu’est ce que la "Kétamine" ?

Parmi les usages très répandus chez les combattants d’Allah, la consommation des drogues est certainement la plus ancienne. L’Afghanistan étant le premier producteur mondial d’opium et l’Algérie compte un nombre impressionnant de jeunes s’adonnant à la "Zetla" venant du pays voisin : le Maroc premier producteur mondial de Cannabis.

L’islam interdit l’alcool d’une manière plus intransigeante en le citant à plusieurs reprises. Mais les stupéfiants, ils ne sont pas nommément indiqués comme : le sang, les paris et la viande de porc. Eh ! Même pour ce qui est inscrit "noir sur blanc", ou inversement, l’alcool est déconseillé à deux reprises et en uniquement deux versets...

C’est une autre histoire, si des "fetwas" peuvent rendre licites les meurtres. Au Mali, dans un local abandonné parle Mujao, le groupuscule dont on dit proche, d’une manière écourtée, du Qatar, un lot de seringues et une quantité de "kétamine" ont été trouvés.

Le puissant anesthésiant sert davantage dans les soins vétérinaires, notamment les écuries. Chez les humains il est utilisé pour les accidentés des routes, il a des effets secondaires pour les patients souffrant de pathologies à complications... A l’instar de la morphine, la "kétamine" est détournée par tous les toxicomanes du monde, pour des utilisations perverses.

Lors des attentats de GAO, l’une des premières villes qui a été encerclée par les forces africaines, françaises et maliennes, les "Kamikazes" étaient farouchement gonflés. Le cas d’un jeune qui avança sur un barrage de militaires, avec une ceinture d’explosifs visible sur sa poitrine, a marqué les esprits des troupes qui nettoient le "Nord-Ouest Africain" des hordes de militants islamistes chargés, selon leurs convictions, d’appliquer la "charia"...

Quand ce jeune descendit d’une petite moto, à l’entrée de la ville de GAO, sur laquelle il arriva derrière son acolyte... Il avança simplement la poitrine chargée et exposée. Il a été sommé de s’arrêter, mais ne régit pas et était comme sourd. Des tirs l’ont atteint aux jambes, les lui coupant au niveau des genoux. Il s’écroula, puis se releva et continua de marcher en titubant, les pieds coupés. Sur des os, il fit quelques pas. Puis il éclata sa bombe et blessa quatre soldats maliens...

Dans la bataille d’Ifoghas-Adrar, au nord du Mali lors de la traque de fin février, 12 soldats tchadiens ont perdu la vie. La guérilla semble en fait s’installer, et isoler les terroristes de la population locale n’est pas mécanique. La religion musulmane de cette région du Monde est à l’image de Boko-Haram ou des "Shebabs" de la corne d’Afrique...

Mourir pour l’idéal divin, au Mali l’ennemi est très évasif. La géographie s’y prête. Comme en Afghanistan, se cacher parmi les habitants locaux a été suivi à GAO, alors que Tombouctou, pour l’instant, semble ne pas être dans ce cas.

Il se trouve que les bombes humaines, sont de différentes nationalités et les maliens sont rares. Dopées à "la kétamine", elles occultent la douleur...

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Voir en ligne : Notre dossier : Mali et islamo-terrorisme

     
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