Cette semaine en Algérie, l’indignation sur les arrestations, la mise en culpabilité de l’identité berbère et la liquidation du mouvement dit « Hirak », a atteint son comble. La crise majeure où a été laissé le pays par le gang des « Bouteflika », issu principalement du parti de la corruption le faux FLN, se rallonge. Alors tout candidat, d’une constitutionnalité tant désirée, est une autre usurpation !
Dans les articles de Populi-Scoop, vous trouverez que la justice algérienne (...)
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6è CONTRIBUTION : L’hésitation des progressistes Algériens rend la révolution démocratique incertaine.
1er juillet 2019, par N.E. Tatem -
L’emblème culturel de l’identité berbère agace militaires et juges en Algérie
24 juin 2019, par Djamel Damien BoucherefLa grande confiance que ressent le peuple algérien pour son armée, que la propagande islamiste contre les "généraux" n’a pas écorné, s’estompe. Avec la "criminalisation" des jeunes porteurs de l’emblème du "YAZ", la fraternité (Khawa/Khawa) n’a pas d’épilogue aux protestations qui exigent le changement de doctrine dans la gestion des affaires publiques. Et tergiverser, entre "tuteurs historiques" et génération aux valeurs universalisées, glisse vers l’enlisement !
Comment une (...) -
Les Algériens avec l’armée contre les charlatans, mais pour une révolution identitaire
21 juin 2019, par Djamel Damien BoucherefUne récente publication attribue à l’Algérie 1 million de salafistes. Ce qui vaut les analyses des intellectuels, aussi bien exilés que ceux qui résistent sur le sol national. Ces obscurantistes animés de la théologie du "Djihad", ont discrètement influencé la société, avec l’aide de nationalistes qui les ont induits. Car apeurés d’être jugés par les progressistes, maintenant en plein révolte, qui comptent demander des comptes. Ceux identifiables, comme ailleurs, par leur longue barbe, (...)
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Les réactionnaires plus opportunistes lors d’une assise de crise en Algérie !
17 juin 2019, par Djamel Damien BoucherefMarquées par la présence des femmes, comme rarement s’étaient faites des manifestations ces dernières années, voire décennies, en Algérie. Les marches du début 2019 comportent une forte présence des élites de toutes sortes, lundi les journalistes et mardi les étudiants. Mais avocats et juges ont précisé qu’ils ont le remord d’avoir failli sous l’autocratie. Ainsi le mouvement étudiant qui semble dresser un diagnostique de psychiatrie collective, en se gardant large distance du sectarisme (...)
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5è CONTRIBUTION : récidiver le passé ou déployer le projet national dans le millénaire ?
11 juin 2019, par N.E. TatemL’Algérie est en transition, quoique douteront encore certains esprits alimentés de désastre ou inspirés par la mise sous scellés de l’actuelle révolte. Nonobstant les embûches excitées se dressent sur la voie, pour différencier ceux qui avancent de ceux qui présument rester sur place ou reculer ? Alors faut-il seulement se concerter, pour dépasser l’entrave ? Ou subir le critérium risqué de laisser dépérir la force et le romantisme d’une année fertile €¦
La société civile algérienne se (...) -
La cour suprême en Algérie est dépassée par les dossiers de corruption...
3 juin 2019, par Djamel Damien BoucherefLa réalité des problèmes systémiques qui exposent la justice algérienne aux interférences sont d’ordre bureaucratiques. Mais plus primordiales sont les difficultés de trouver des enquêteurs compétents et indépendants. Depuis l’effondrement de la sécurité dans le pays, naturellement l’appareil judiciaire a succombé aux pratiques médiocres que la formation en droit a subi avec l’élargissement de l’utilisation de langue arabe qui a été suivie de l’expansion de l’islamisme.
Pour toutes les (...) -
4è CONTRIBUTION : le mythe de "l’éradiqueur : Rab D’Zaer" corrompu par Bouteflika
30 mai 2019, par N.E. TatemPour un avenir optimal en Algérie, nul ne cherche à savoir que sera l’avenir du trio arrêté ensemble Médiene alias Tewfik, ni celui de Saïd Bouteflika ainsi que de Louisa Hanoun ? La justice opère pour leur cas qui est d’avoir empêché la destitution de Bouteflika, les accusant d’avoir comploter pour ça.
Certains Algériens ont longtemps douté que l’armée puisse arrêter l’ambiance de détournement de la présidence. Et d’autres se demandent jusqu’où il est allé dans le dévoiement des (...) -
1ère partie : l’Algérie fait sa ferme transition montrée par une sagesse collective.
28 mai 2019, par Djamel Damien BoucherefUn mardi en Algérie, lors du mouvement social qui a montré de vraies qualités de fierté, c’est le discours du chef des armées et la manifestation des campus qui sont attendus. Un double rendez-vous devenu au fil des semaines, un rencart à l’éveil de la conscience interpellant la révolution démocratique nationale #RDN. D’anciennes forces vives de la nation, qui tente de renouer avec l’édification, sortent de leur léthargie.
Lire 2ème partie ICI.
L’une des premières actions des (...) -
2 candidats pour la présidentielle du 4 juillet rejetée par les manifestants en Algérie
26 mai 2019, par Djamel Damien BoucherefLe 9 avril dernier, le décret convoquant le corps électoral a été promulgué, après sa signature par le chef de l’Etat, l’intérimaire Abdelkader Bensalah. Le "texte-appel" a paru le lendemain au journal officiel. Au plus tard, 45 jours après cette publication, selon l’article 140 de la loi organique qui réglemente le processus électoral, les déclarations de candidatures ont été remises au conseil constitutionnel. Deux noms ressortent au dernier pas du parcours.
La plage temps, entre (...) -
"Infox" dans le "Hirak" algérien : spectre nébuleux pour éditeurs de médias
24 mai 2019, par Djamel Damien BoucherefUne génération en Algérie a fait octobre 1988, avant que ne tombe le mur de Berlin une année plus tard. Elle a été esquintée par les réactionnaires qui ont fait de l’islam politique leur nouveau nationalisme. Celle qui a échoué d’arrêter Bouteflika lors du 3è puis du 4è mandat, a persisté de rechercher tout azimut de redresser l’échine. Avec le projet de 5è, elle exige la qualité d’une nation où le progrès, n’échappe pas aux manipulations qui s’articulent comme une théologie.
Les trolls (...)